Crédit photo : Loïc de la Rancheraye
ASCPF : Bonjour Loïc, peux-tu nous dire dans quelle région tu vis et comment tu as connu l’ASCPF ?
Loïc : Je vis tout au sud de la Seine et Marne, tout prés de la Bourgogne. J’ai connu l’ASCPF par le stage Nikon à l’espace Rambouillet. Il était animé par Claude Suriray et cela m’a emballé. J’ai continué par les séances techniques.
ASCPF : Depuis combien de temps en es-tu membre ?
Loïc : Je suis membre depuis 2012.
ASCPF : En quoi contribues tu à faire vivre l’association ?
Loïc : Dès ma première assemblée générale, je me suis présenté comme administrateur et comme secrétaire. Je souhaite participer activement à la vie de l’association, pour moi être dans une association signifie être actif.
ASCPF : Qu’est-ce qui fait qu’aujourd’hui tu te sens bien dans l’association ? Qu’est-ce qui, à tes yeux, est essentiel à préserver ?
Loïc : J’apprécie l’ambiance de l’association, le forum qui permet de voir ce que font les autres photographes, et les séances techniques où l’on peut discuter de vive voix. J’apprécie aussi, bien que je ne participe pas assez souvent à mon gout, les rencontres sur le terrain.
ASCPF : Qu’aimerais-tu dire qui te semble essentiel pour la vie de l’ASCPF ?
Loïc : Je pense que le principal pour l’ASCPF est de faire en sorte que ses membres se connaissent. C’est compliqué car il y en a un peu partout mais pour moi c’est ce qui me parait essentiel, la convivialité.
ASCPF : Si tu veux bien, je te propose maintenant de nous présenter ton travail photographique. Depuis combien d’années fais-tu de la photo ? Comment t’es venue cette passion ?
Loïc : J’ai quasiment toujours fait de la photo, de façon un peu désordonnée et sans grande préférences mais j’ai aussi toujours été fidèle à la nature et à ses habitants (humains ou animaux). Mes sujets de prédilections ont été mes enfants bien sûr, mais aussi les voyages.
ASCPF : Où fais-tu tes photos ? Es-tu un grand voyageur ?
Loïc : Oui j’aime beaucoup les voyages mais je photographie aussi en France. Lorsque je voyage, je choisi en priorité les endroit ou la nature est restée sauvage. J’aime les grandes forêts, les déserts. J’évite les villes et la civilisation moderne qui ne sont pas à mon échelle.
ASCPF : As-tu une démarche particulière et que cherches-tu à montrer à travers tes photos ?
Loïc : J’essaye d’être un témoin de la nature et des êtres vivants qui l’habitent. J’aime présenter ce que je vois et ce que je constate. Nous sommes, à cette époque, extrêmement destructeur de la nature. On le ressent fortement quand on voyage dans les pays un peu sauvages proches de l’équateur (là où je vais souvent) ou aussi vers les pôles (où j’aimerai aller). Je pense qu’il y a urgence à prendre conscience de cette destruction dont le but est très souvent le confort des pays riches. Pour moi l’homme n’est pas au dessus des êtres il dot reprendre sa place qui est au milieu des être vivants.
ASCPF : Peux-tu nous présenter 6 photos représentatives de ton travail. Si tu le souhaites, tu peux légender chacune d’elles pour les faire parler.
ASCPF : Pour terminer cette interview, je te propose de poser toi-même la dernière question, celle que tu aurais aimé que je te pose, et d’y répondre.
Loïc à lui même : Que t’a apporté l’ASCPF à ce jour ?
J’ai découvert à l’ASCPF que l’on pouvait faire des photos d’animaux qui sont en même temps très esthétiques. C’est ce que je vois sur le forum où lors des séances techniques. Je ne me sens pas encore au niveau de certains membres et j’ai du travail à faire pour y arriver. Je ne baisse pas les bras et grâce au forum je continue à m’améliorer. Je pense que c’est aussi l’un des buts de l’association que d’aider à la formation pour la technique, l’esthétique et l’éthique.
ASCPF : Merci Loïc pour ce mot de la fin et à très bientôt.
Loïc de la Rancheraye