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Merci beaucoup Loic, ja partage cet amour du loup d’Abyssinie, un animal rare et attachant.
En précision, j’aime tous les loups, leur regard me fascine.
Bonjour Maggy,
Merci beaucoup pour votre appréciation.
Je vais tacher d’être à la hauteur des talents de ce groupe.
A bientôt.
Ci joint cette fois ci lionne en colère.
Photo numéro 1 :Tu avais quelques heures et la patte cassée
Tu ne demandais qu’à vivre avec ta patte cassée
La savane est cruelle
Pour les girafons à la patte cassée
Ta mère avait déjà compris
Elle s’est éloignée de toi, résignée
Le lion t’a vu et tu n’as pas couru.Masai Mara, girafon , novembre 2020
Photo numéro 12 :Où sont donc les touristes habituels ?
Pendant le confinement, aucun touriste dans le Masai Mara,
Catastrophe économique pour les Masais qui vivent grandement du tourisme
La taxe ‘touriste’ qui sert à payer les gardes a nettement diminué faisant la vie belle au braconnage.Masai Mara, Lion, mars 2020
Photo numéro 11 :LE Gélada est une espèce endémique des hauts plateaux d’Ethiopie.
Ils sont herbivores et peu appréciés des éleveurs de bétail.Ethiopie, Gélada, juin 2021
Photo numéro 10 :Les loups d’Abyssinie après avoir dormi solitairement se retrouvent chaque matin
Pour des retrouvailles chaleureuses et animées.
Ils repartent ensuite chacun de leur côté pour chasser seuls.
Ethiopie, Loup d’Abyssinie, juin 2021
Photo numéro 9 :Au petit matin, la température est fraiche dans la vallée du web
Moins 2 degrés dans la nuit
La brume sur un plan d’eau donne un aspect surnaturel au paysage
Ethiopie, juin 2021
Photo numéro 8 :Deux rapaces se battent pour un rat, justement ce rat là…
Alors que les rats sont en quantité abondante
Ethiopie, rapaces, juin 2021
Photo numéro 7 :Le loup d’Abyssinie recherche ses proies favorites en fouillant dans le sol.
Les petits rats tentent de se cacher au fond de leur galerie.
Le loup peut manger jusqu’à 7 rats par jour.Ethiopie, Loup d’Abyssinie, juin 2021
Photo numéro 15 :Le grattage chic et discret du loup d’Abyssinie.
Ethiopie, Loup d’Abyssinie, juin 2021
Photo numéro 6 :
Le loup d’Abyssinie est friand d’une sucrerie suintant de la knyhofia, fleur jaune.
Le nectar très sucré, au gout de miel est très apprécié des loups et des habitants…Ethiopie, Loup d’Abyssinie, juin 2021
Photo numéro 5 :
Le loup d’Abyssinie est une espèce endèmique de l’Ethiopie.
Il vit sur les hauts plateaux du Web.
Son espèce est en danger d’extinction.
Il est vacciné par des croquettes médicamentées
Leur population est stable depuis cette année seulement
Après avoir frôler l’extinction complète il y a deux ansEthiopie, Loup d’Abyssinie, juin 2021
Photo numéro 4 :
Kaboso, queen of Kaboso, léoparde célèbre dans le Masai Mara
Mère courage
Elle a simulé un oestrus pour attirer vers elle un male en demande
Afin d’éviter que son petit soit tué par le mâle
Après 3 jours d’accouplement, le mâle rassasié est parti
Elle retourné dans le bush où elle avait caché son bébé, pour le nourrirMasai Mara, Kaboso, octobre 2019
Photo numéro 3 :
Cette maman guépard a eu 4 bébés,
Une mère courageuse qui s’est battu contre des hyènes
Et contre une lionne
La nuit elle emmenait chaque bébé dans sa gueule pour les mettre à l’abri
Aucun des bébés n’a survécu
Il suffisait qu’elle parte chasser pour se nourrir pour que les bébés soient attaqués
Les uns après les autresMasai Mara, guéparde avec 4 bébés, mars 2020
Photo numéro 2 :
Les jeunes lions males vivent entre eux
Ils sont expulsés de la fierté par le groupe
Mais surtout par le mâle dominant
Ils sont solidaires pour la chasse
Le soir ils se font des calins,
Les félins ont besoin de cette proximité fraternelle qui leur rappelle le groupeMasai Mara, Jeunes lions males, mars 2020
Lion en colère, touche pas à mon gnou.
Un autre lion trouvait appétissant le gnou que celui-ci mangeait.
Il s’est fait remettre à l’ordre rapidement et de façon évidente.Masai Mara, Lion, novembre 2020
Photo numéro 13 :Accouplement de lions
Les lions s’accouplent pendant plusieurs jours d’une à deux fois par heure.
La lionne se frotte et indique au mâle qu’elle est en chaleur et en oestrus
Après chaque accouplement, elle se met sur le dos, les pattes arrières bien relevées pour permettre à la semence de rester dans les trompes.Masai Mara, Lions, novembre 2020
Bonjour à tous,
Je suis parrainée par Olivier GUTFREUND, photographe de grand talent avec qui j’ai eu le plaisir de voyager dans des terres glacées. Je l’en remercie vivement.
Il est toujours difficile de se présenter … Allez hop !
Je suis Agnès MONTAGNON, l’épouse de Gilles Thomas, photographe également.
Je suis née, il y a quelques années (non ! On ne dit pas l’âge …) à Saint Maur des Fossés dans le Val de Marne. Nous habitions une maison avec un grand jardin, lieu de découverte en tout genre de la faune et de la flore dans ce terrain de jeu qui me semblait immense. Je pouvais rester des heures à regarder les insectes et les oiseaux, nombreux à cette époque. Je surveillais avec attention et impatience mes plantations diverses. Les chats du quartier squattaient volontiers le jardin et ses recoins pas tous aménagés. Les chattes venaient faire leurs petits dans une cabane non entretenue et nous découvrions, avec émerveillement les bébés après un certain temps… A nous de les confier aux bons soins des voisins.
C’est mon père, originaire du Jura qui m’a donné le gout de voyager de voir, sentir, toucher du bout des doigts cet espace de liberté. A ses cotés j’ai pu constater la richesse mais aussi la fragilité de la nature.
Plus tard avec Gilles nous avons tout naturellement continué cette envie de partir,
Toujours partir,
Encore partir… à quelques kilomètres ou plus loin, très loin, sans limites.Pendant quelques années nous avons fait de la vidéo sous-marine, lui à la prise de vue, moi au montage des vidéos.
J’avais toujours un appareil photo avec moi pour immortaliser nos voyages. En argentique au départ puis plus tard en numérique. Je n’avais qu’un petit Lumix mais je m’en arrangeais quand même. Ce n’était pas du grand art, mais bon…
Il y a quelques années j’ai pu avoir un « vrai » appareil : un Nikon D500, puis progressivement je suis montée en gamme toujours dans la marque Nikon.
J’espère ne pas me faire d’ennemis avec les Canonistes, voire les Sonystes.
Ce que j’aime dans la photo ? Transmettre, le beau, le tendre, le surprenant. Le regard d’un animal que je croise me fascine.
Nos objectifs nous permettent de photographier sans déranger. Il n’est pas nécessaire de venir sous leurs moustaches pour prendre une photo.Avec cette transmission, je me considère comme un maillon d’une grande chaine humaine de passionnés de la nature qui témoignent d’un temps, que les moins de 20 ans ne pourront peut-être pas connaitre. Beaucoup d’espèces sont en voie d’extinction. Je suis convaincue que l’on préserve ce que l’on connait. A travers les photos, les enfants, NOS enfants appréhendent mieux ce que la nature peut nous offrir.
Je milite pour la condition animalière depuis de nombreuses années. Il n’est pas rare de me voir sur une manifestation contre les montreurs d’ours, les cirques avec animaux sauvages, les corridas… Ma façon de faire est pacifiste, sans agressivité vis à vis de ceux qui ne sont pas animés de la même conscience que moi. J’explique ma présence simplement. Je sème une petite graine qui peut être germera dans leur esprit.
A travers cette lettre de présentation, j’espère vous donner l’envie de me connaitre autant que j’ai envie, de mon côté, de faire partie de votre association.
