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Bonjour
Et merci à tous pour tous vos commentaires très encourageant. Faire partie des membres est important pour moi. Je suis très heureux de cette nouvelle.
Il faut que je me familiarise encore avec le site. Et je mettrai des photos aux bons endroits.
Un dernier remerciements à Claude pour le temps qu’il m’a consacré, pour ses explications, pour son parrainage.PS : je pense qu’il me reste encore à régler la différence entre participant aux sceances techniques et membre.
Je vous laisse m’indiquer la somme et je ferai un virement.À très bientôt.
EmmanuelÀ très bientôt
Bonjour,
Toutes les photographies du recueil sont maintenant sur le forum.
Je sais que j’ai mis trop de temps pour les placer. Les raisons sont en premier lieu associées à mes difficultés à trouver comment faire (pour me connecter et les insérer), et puis aussi, parce que mon métier (expert risques sanitaires) me mobilise beaucoup en ces temps de COVID.Ce n’est pas par manque de motivation.
Bonne journée,
EmmanuelEOS 7 D MARK II – 100-400 IS II -ISO 1600 – f5.6 1/200s- 286 mm.
Les chevreuils en velours apportent ici une douceur particulière à ce paysage gelé de la fin janvier.
En arrivant sur un nouveau secteur de quête, j’avais aperçu un chevreuil partir dans un bois, je me suis placé en bordure de broussailles le long d’un passage. Les chevreuils se sont approchés, ils ont repéré quelque chose de bizarre, ils sont restés à pendant quelques minutes à une trentaine de mètres, avant de continuer leurs balades.
EOS 7 D MARK II – 100-400 IS II – 100 ISO – 1/100 s 400 mm f/6.3 – approche. Ce brocard couvert de tiques à l’encolure, essaye de s’en débarrer. Je l’ai approché à l’ombre des bois, j’ai eu le temps de prendre plusieurs clichés avant qu’il continue tranquillement son chemin.
EOS 40 D – 100-400 IS – 100 ISO – 330 mm – f/7.1 – 1/250 – Affut chaise – non recadré – Qu’est-ce j’aimais cet endroit. Une prairie isolée, la mer à proximité, des chardons hauts, des chevreuils éclairés par le soleil du matin. Hélas, il n’existe plus. Des chevaux broutent maintenant la zone chaque année, les mauvaises herbes pourtant si belles ont disparu. Cette photo a été prise alors que je venais d’acheter un abri chaise. Malgré cette prise, je ne conseille pas son utilisation car il limite les mouvements et reste à mon avis trop lourd.
Groupe de cervidé (29 au total) EOS 40 D – 100-400 IS – 400 ISO – 400 mm – f/7.1 – Cette harde de cervidé, dérangé par quelqu’un d’autre, a traversé le pré où je passais en bordure de bois. Ils se sont arrêtés ensuite en bordure de bois à 300 mètres. J’en ai compté 29 en reprenant les regardant mes autres photographies plus tard.
OS 7 D mark 2 -100-400 IS II – ISO 1250 1/ 250 s à 260 mm non recadré – approche. C’est en arrivant sur la zone que je les aie surprises. L’approche n’a pas été parfaite. Elles n’ont d’ailleurs pas tardé à déguerpir après quelques photos. J’aime bien les couleurs de l’hiver et la brume en arrière-plan.
EOS 7 D mark 2 -100-400 IS II – ISO 640 1/ 100 s à 283 mm non recadré – daguet – Posté – Je ne sais pas ce qui est arrivé à ce daguet, une cassure au niveau du pivot est exceptionnelle. Ce cerf en gardera des séquelles et ces bois resteront très probablement déformés. Ce photo insolite a été pris au poste, il a pris son temps avant partir.
EOS 40 D – 100-400 IS – 200 ISO – 1/50 s à 260 mm – approche – Ce cerf est mon premier pris avec un appareil numérique, lors de la période du brame. J’allais dans le secteur depuis plusieurs années, après être rentré dans la zone de confort de l’animal, j’ai laissé les choses se faire.
EOS 7 D mark II -100-400 IS II – ISO 2000 – 1/ 80 s à 148 mm – approche – Non recadré – filé – Après m’être entrainé aux 24 h du Mans sur des filés de voitures, il ne me restait plus qu’a exploité cette technique. Lors des approches, dans des zones de circulation d’animaux, une à deux fois par an, des sangliers passent à proximité. Il faut se tenir prêt, avoir préalablement choisi les bons paramètres de prises de vus, et cadrer rapidement à l’aide du zoom. Ce jour, je m’étais placé au poste avant le levé du jour. Après avoir photographié un beau cerf (malheureusement à trop faible lumière), j’ai entendu grogner dans un fourré à quelques dizaines de mètres. Par chance le vent était bien orienté pour une approche. Ce sanglier est passé à moins de 5 mètres, à allure modérée, il ne m’a ni vu ni senti.
EOS 7 D mark II -100-400 IS II – ISO 3200 1/ 60 s à 400mm – Non recadré – retour d’un poste. Je me tiens toujours prêt.
Assis dans une pente, je venait de quitter mon poste. Je l’ai entendu arrivé de loin. Je me suis préparé et il est venu à quelques mètres de moi.EOS 7 D mark 2 -100-400 IS II – ISO 400 1/ 200 s à 400mm – Marcassin – approche – Ce marcassin faisait partie d’un groupe. Situé dans une zone marécageuse avec possibilité de se souiller à proximité. Je me suis approché en respectant les règles : mouvement très lent, éviter de marcher sur les branches susceptibles de craquer, passage par la zone le plus fourré, jamais debout. Par chance, j’ai trouvé un petit passage au milieu du fourré pour passer mon objectif. J’ai pris plusieurs photos.
EOS 7 D mark II -100-400 IS II – ISO 800 1/60s à 120 mm – Non recadré – Poste.
EOS 7 D mark II-100-400 IS II – ISO 100 – 1/ 60 s à 340 mm – Non recadré – approche
Mon premier grand souvenir de chasse photographique est une approche sur un groupe de sangliers. C’était en 1998, en forêt de Rambouillet, j’avais repéré 4 sangliers baugés en rang d’oignons. En rampant, sous le vent, je les ai approchés à moins de 20 m, il n’y en avait finalement pas que 4, mais un groupe d’environ 25 : marcassins, bêtes rousses, adultes. Après deux pellicules et demie (env 1 h 30 auprès d’eux), un jeune est passé trop près, il m’a senti, et comme à chaque fois avec les sangliers le groupe s’est dérobé. Cet animal à la fois si proche de l’homme par son comportement et si sauvage, est toujours présent dans ma quête photographique. J’ai continué depuis à utiliser l’approche comme principale technique pour les photographier. C’est certainement celle que je préfère pour son exigence de mimétisme entre homme et nature.
Linottes mélodieuses – EOS 7 D Mark II – canon 100-400 IS ii – 1/200 s f 5.6.
Cette photographie est une intruse, dans ce recueil, je n’étais pas en poste depuis des heures, mais me promenais au bord du Maine en famille quand j’ai repéré ce couple de linottes au milieu d’une végétation en harmonie de couleur. J’ai abandonné la balade et je me suis posté.EOS 40D – canon 100-400 IS – 1/200 s f 7,1 – On sent la tristesse dans l’œil de ce rouge gorge.
C’est en rentrant d’un poste en forêt que je l’ai croisé, il était gelé, la lumière d’hiver était belle. Je n’avais rien sur moi pour le nourrir, je suis retourné chercher un peu de pain puis je suis revenu, mais je ne l’ai pas revue. Je ne crois pas qu’il eût survécu à cet hiver rigoureux.Pic mar -EOS 7D Mark 2 – canon 100-400 IS II à 400 mm- 1/125s – 3200 ISO -Technique : déclencheur à distance
Pic mar – EOS 7D Mark 2 – canon 100-400 IS II à 400 mm- 1/80s – 2000 ISO – Non recadrée. Technique : déclencheur à distance.
Tous les ans à la même époque, je vais dans une zone de reproduction des pics mars. C’est un endroit calme et isolé. Les nids sont dans un périmètre d’un peu plus d’un hectare en pleine forêt, l’année dernière j’en ai photographié quatre. J’utilise pour les 2 techniques suivant la végétation présente. Si je ne peux pas me dissimuler suffisamment et qu’il y a un risque de rompre le rythme du nourrissage, j’utilise un déclencheur à distance, sinon un abri adapté que je couvre par la végétation du biotope. Par chance sur ces deux photos, le nid était placé sur un arbre mort bas dans une pente, ce qui m’a permis de rapprocher l’appareil de l’oiseau.Chevalier guignette – EOS 7D Mark II – canon 100-400 IS II. Il est venu plusieurs fois à moins de trois mètres de moi, c’est baladé sur ce rochet. Des sternes (encore elles) plongeaient à côté de lui, un héron pourpre se baladait à l’arrière, un martin-pêcheur virevoltait autour de moi, des aigrettes, des sarcelles d’été… je ne parvenais pas à quitter les lieux. C’est un jour curieux, ou ma passion a failli m’emmener, j’ai eu un malaise seul du fait de la chaleur devenu trop forte. J’ai réussi tant bien que mal à rejoindre la maison forestière, ou je remercie encore le garde qui était présent pour ses secours.
Grande aigrette – EOS 7D Mark II – canon 100-400 IS II à 100 ISO – 400 mm – 7.1 – Tout en douceur.
Prise suite à une approche à genoux, abris sur le dos, sur une étendue d’eau en bord de mer. Même si cette photographie est techniquement critiquable, j’aime son rendu doux qui se rapproche de la grâce de cet oiseau.Échasse blanche – EOS 40D -100-400 IS – f8 – 1/125 – 200 ISO – 400 mm – non recadrée
L’échasse blanche est pour moi un des symboles d’une prise de poste réussie. Très méfiante elle vous « engueule » en tournant autour de vous et fait fuir tous les autres oiseaux. Quand j’étais moins aguerri aux techniques d’approche des oiseaux en bordure de mer (souvent à genoux, camouflage avec rupture de forme avec des branchages…), il m’est arrivé de quitter mon poste, ne supportant plus de me faire huer par cette fameuse échasse blanche. J’ai sélectionné cette photographie, pour son harmonie de forme et de couleur.Héron cendré- EOS 7D Mark II – canon 100-400 IS II à 400 mm- 800 ISO. 1/1250s – Je l’attendais pas.
Après avoir repéré le va-et-vient des sternes naines sur une zone en bord de mer. Je m’étais positionné le long de la berge sous un vieil arbre. Ce héron est à considérer comme un intrus dans ma quête du jour, il est venu partager le mets des sternes, en chipant un des poissons qui grouillaient sur l’étendue d’eau. J’ai pu apprécier sa technique de pêche. Cette photo donne une représentation majestueuse et sombre du pêcheur.Martin pécheur – EOS 7D Mark 2 – canon 100-400 IS II à 400 mm – 100 ISO.
Ce martin-pêcheur faisait des allées et venues sur un ruisseau longeant des marais salants. Je me suis placé proche d’un vieil arbre mort, les pieds dans l’eau. Dans cette zone marécageuse, j’utilise des cuissardes et des vêtements de camouflage un peu usé par le sel et le soleil. Ils reprennent assez bien les couleurs des berges. J’aime particulièrement cette photo pour le bokeh qui fait à la fois ressortir l’oiseau et permet des rappels de forme avec la branche au premier plan.Aigrette garzette- Canon EOS 7D Mark II – Canon EF 100-400 IS II f/7,1- 370mm – 1/500 s
Héron pourpre – Canon EOS 7D Mark II – Canon EF 100-400 IS II f/6.3 1/500 s- Technique : Approche au travers des ronces et des joncs.
Héron pourpre – EOS 7 D MARK II – 100-400 IS II – 200 ISO – 1/60 s 400 mm f/6.3
J’ai remarqué que les oiseaux sont moins vigilants, quand on prend un chemin à priori inaccessible pour les approcher. Une fois le groupe à proximité (dans leur zone de confort), il faut aussi une mise en poste rapide, sans mouvement brusque et un bon camouflage. Les oiseaux ont une meilleure vision que bien des mammifères. Le jour de cette prise de vues, cette photo, la précédente et suivante, je suis resté plusieurs heures et j’ai quitté le poste sans déranger. C’est ce que je recherche dans ma démarche.
EOS 7D Mark II – canon 100-400 IS II à 400 mm- 10 i/s – 1/4000s – ISO 640 – recadré en hauteur (passage en 16/9)
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