Toutes mes réponses sur les forums
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Je ne vois pas ce que tu veux dire Pascale
Yvon même si tu vois pas le vert, tu vois quand même que la couleur est différente non?
Du spectacle à domicile
Vraiment top..;
4 mars 2019 à 19 h 10 min en réponse à : Les oiseaux de Thaïlande, mammifères et autres bestioles #11386Une belle diversité dans un pays que je connais pas du tout…
Bientôt le printemps
1 mars 2019 à 10 h 18 min en réponse à : Les oiseaux de Thaïlande, mammifères et autres bestioles #11332J’ai un faible pour cette petite chouette :)
J’en ai profité pour remettre de l’ordre dans ton fil….
Bienvenue par ici Karin. Au plaisir de suivre tes nouvelles images.
:)
Il te reste à mettre ton avatar à jour…
Super Jp, tu prends même de l’avance puisque tu posts déjà des photos du 27 mars 219 :)
7 février 2019 à 16 h 54 min en réponse à : Macro au delà du rapport 1:1 (de Pierre Sébastien) #11182Je trouve ce micro monde fascinant. A priori d’après mes recherche, mon jardin serait habité par des collemboles de genre Allacma sp et Sminthurus sp. Vaste travail que la détermination de collembole. Voici une nouvelle série du micro monde de mon jardin.
7 février 2019 à 16 h 52 min en réponse à : Macro au delà du rapport 1:1 (de Pierre Sébastien) #11181Olivier, avec son MPE, m’a fait retomber dans mes travers macro-istiques avec mes bagues allonges. J’ai calculé le rapport de grossissement. Avec un petit capteur Canon (x1,6), 68 mm de bagues et un 100 mm, on obtient un grossissement de 2,1. Les photos, que je vous présenterai, seront toutes faites à ce grossissement (ou alors je le préciserai ).
Allez Olivier!! On se tire un peu la bourre!! MPE vs Bagues KENKO!!!
Tous les shoots sont permis.P’tite mouche verte
il m’a fallu enlever 3 cm de poussières sur mon matériel macro. Le temps est gris, humide comme je les aime en hiver pour effectuer une session collembolistique.
A genoux dans la mousse détrempée, les collemboles sont partout7 février 2019 à 16 h 48 min en réponse à : Macro au delà du rapport 1:1 (de Pierre Sébastien) #11180Petit tour dans un tas de bois en décomposition. Une première rencontre avec les collemboles. Ce sont des petits êtres vivants qui ont vraiment la bougeotte.
11 Un collembole au rapport 1:1 (capteur petite taille x1,6)
Une règle photographié avec les même matériel que les collemboles ci dessous, pas de recadrage, juste pour vous poser la taille du décor.
Ce collembole fait 1,5mm environ
Tout petit collembole (moins d’1 mm) – c’est assez drôle de dire petit collembole vu déjà la taille d’un collembole normal.
Cependant, c’est vrai que celui là faisait quasi la moitié de ceux du dessus.Toutes les photos et textes de ce post sont de Robert Balestra.
Plus d’infos sur l’auteur : http://rbalestra.wixsite.com/robert-balestra
L’auteur devant les chutes de la rivière Awash
e sais qu’il y a pas mal de personnes qui sont intéressées.
Je tiens tout de même à préciser qu’elle n’est pas sans danger dès lors qu’on sort des sentiers battus. Il n’y a qu’à voir les pays qui l’entoure pour s’en convaincre : Somalie, Soudan, Erythrée et nord du Kenya.
Si vous avez affaire à un chauffeur sérieux, il vous demandera d’abord où vous voulez aller et c’est à ce moment là qu’il vous dira si c’est ok pour lui ou pas. Bien avant de parler de prix. Comme je l’ai écris plus haut, les coins dangereux sont nombreux et les chauffeurs n’y vont tout simplement pas.
Pour le loup, (je pense que beaucoup d’entre vous sont attirés par cet animal), c’est une autre histoire. A chaque fois que je suis monté sur le plateau du Sagnetti (Montagnes du Balé) je l’ai vu. Ce n’est pas une rencontre rare, ce qui est rare c’est de ne pas le voir.
Par contre pour faire de belles photos de cet animal c’est une autre histoire. Je pense sincèrement qu’il faudrait prendre un guide spécifique et y consacrer au moins une semaine complète en essayant de repérer une tanière etc etc ….. bref, ce n’est pas du tout le même voyage. Et il n’y a pas de secret, il faut être là haut au lever du soleil et à la tombée de la nuit. Il faut donc dormir sur place (bivouac). C’est très faisable, il y a des locations de chevaux pour les treks, ils louent même le matériel de bivouac et les guides qui savent où le trouver doivent être connus et faciles à embaucher.Pour les oiseaux, là c’est encore une autre histoire. J’ai coutume de dire que l’Ethiopie est une immense volière mais çà ne veut pas dire que le millier d’espèces recensées va venir devant votre chambre d’hôtel, loin s’en faut ! Il faut souvent aller les chercher et pour çà il faut savoir où les trouver. Bien entendu sans avoir préparé votre séjour sur la base d’un voyage ornitho, vous en verrez tout de même pas mal. Mais vous risquez d’en manquer deux fois plus. N’hésitez pas à vous plonger dans les compte-rendus de voyage (ornitho) pour cibler un peu plus votre trip si c’est ce qui vous intéresse.
Sinon si une photo de loup au milieu d’un vaste plateau vous suffit, partez et visitez l’Ethiopie tout simplement, il y a plein de gens et de choses à voir et je vous promets que vous verrez aussi des oiseaux même sans les cherche.
Pygargue vocifère
Inséparable d’Abyssinie (endémique)
Gobemouche chocolat (endémique)
Serin à tête noire (endémique)
On commence par cuire les grains café sur le feu, ensuite il est moulu dans un mortier avec un pilon et après la poudre est mise dans une cafetière en terre cuite avec de l’eau et cette cafetière est mise directement sur la braise. Quand les bulles commencent à sortir du bec on verse plusieurs fois le café dans une tasse et le remettent dans la cafetière. Une fois que c’est terminé (au moins 30 à 40 mn) on peut boire ce délice. A chaque fois que j’ai dégusté ce café je n’ai jamais été déçu, il est toujours excellent. Dans les restaurants éthiopiens traditionnels il y a une femme qui ne fait que çà dans un coin de la salle, il y a toujours du café chaud prêt. Par contre dès qu’on va dans les grands hôtels à « touristes » on retrouve les machines à café que nous connaissons et là il est souvent mauvais….. et beaucoup plus cher, jusqu’à 10 fois plus cher que dans les petites échoppes. Mais il faut dire qu’il n’est vraiment pas cher (moins de 10 centimes d’euros).
Chez l’habitant, lorsqu’on t’offre le café fait de façon traditionnelle, c’est vraiment quelque chose d’important à leurs yeux, d’ailleurs çà s’appelle « cérémonie du café ». Si ils font çà c’est pour te remercier, te faire plaisir ou t’honorer. Et puis il faut savoir que pour eux c’est une denrée qui coute très cher sans parler qu’il y a toujours de l’encens qui brûle et que c’est encore quelque chose qu’ils doivent acheter.
RobertLes petites échoppes qui servent le café traditionnel dans les villages.
L’unique château fort d’Afrique, celui-ci se trouve dans la ville de Gondar qui fût capitale de 1632 à 1855. Les plus vieux bâtiments datent de cette époque. Ce qui n’est pas le cas de ce bâtiment clair au milieu qui lui date de la fin du XIX° siècle.
Les chutes du Nil bleu qui viennent du Lac Tana. Le meilleur moment pour visiter ce site est la saison des pluies où les chutes sont gigantesques. En dehors de cette saison, un barrage régule le débit et diminue d’autant le spectacle.
Pic d’Abyssinie, un endémique que je n’espérais plus voir
Pic de Nubie
Pic spodocéphale
Touraco à joues blanches …… splendissime !
Nous avons fait ces photos lors de notre approche, lorsque nous sommes arrivés à cette distance les oiseaux n’ont pas manifesté d’inquiétude, nous sommes donc restés à cet endroit puisque çà nous allés aussi. Nous étions un peu dissimulés dans les plis de terrain. Nous nous sommes recouverts de filets et de bâches camouflage. C’est difficile d’installer une tente affût là bas avec le vent fort omniprésent.
Les combattants ont vraiment un comportement prévisible. Il tolère une présence humaine non dissimulée jusqu’à une certaine distance (je dirais 50 à 60 mètres). Il y a un lek à côté d’une aire de pique nique (table et bancs) et les oiseaux continuent leurs salades pendant que les gens mangent, parlent et rigolent…..
Si l’approche se fait délicatement, on peut arriver à 30 mètres mais pas plus. Ensuite çà décolle et ils vont attendre à distance que la zone devienne sûre pour revenir. Les 4 leks que nous avons vus sont tous sur de petits monticules. Si on est trop près les oiseaux se mettent derrière le monticule et vous ne faites que des photos de tête ! D’où l’intérêt de trouver la bonne distance, premièrement pour ne pas les gêner et ensuite pour faire des photos digne d’intérêt.Mais si je devais retourner là bas je ne ferai pas comme çà. L’idéal serait de trouver un lek isolé où tu n’es pas dérangé, il y en a si vous n’avez pas peur de marcher un peu pour s’éloigner des pistes. Ensuite vous installez un affût fixe sommaire mais efficace avec faible hauteur (pour qu’il soit discret dans ces paysages désespérément plats) et résistant au vent avec des bois, bâches (ne pas oublier les piquets) et filets, je vous fais confiance pour çà. Vous le laissez en place le temps de vos photos, je suis sûr que c’est la solution. Même si ces oiseaux sont un peu farouches, je pense qu’ils doivent vite incorporer l’affût dans leur environnement.
Le problème lorsque je pars à l’étranger de courtes périodes et que je ne suis pas sûr de revenir, j’ai toujours le même dilemme. Rester plusieurs jours sur la même espèce où visiter plusieurs biotopes pour voir d’autres paysages et chercher de nouveaux oiseaux, il y en a tant à voir !!!! Les combattants étaient une rencontre phare de notre séjour, nous leurs avons consacré 2 jours plein mais pour tenter de faire les photos dont je rêve. Je pense que c’est possible mais il faudrait leur consacrer au moins le double de temps et surtout venir plutôt en saison pour voir les combats à leur apogée, mi-mai d’après les gars sur place. Sans compter qu’il faut faire plusieurs leks pour chercher celui qui va pour nous avec de jolis bokeh etc…. le notre était à côté d’un lac et du coup, cette bande bleue sur toutes mes photos ne m’enchante guère
J’étais avec deux copains qui me semblaient plutôt partisans pour voir autres choses et tenter de nouvelles espèces. Et puis c’est vrai que nous étions déjà contents des photos réalisées même si elles n’ont rien d’exceptionnelles comme je l’ai écris. Comme j’étais partagé, j’ai également opté pour ce choix.
Je vous conseille je petit fascicule très bien fait qui ne coûte que 8 ou 9 euros. Il date de 2004 mais les infos sont pour la plupart encore d’actualité (ce qui n’est pas valable pour tous les titres, notamment le Maroc, soit dit en passant) : http://www.birdguides.com/webzine/article.asp?a=2395
Robert.
41 – Donc je reviens vers vous avec ce nouveau biotope. C’est une sorte de lande constellée de lacs plus ou moins petits. Malgré la rudesse des lieux où le vent rêgne en maître on trouve encore des habitations où les gens vivent à l’année. Ils vivent de quoi ? On se le demande encore ….. Mais ils vivent bien à en voir les Audi 4×4, moto-neige et autres quads garés devant les habitations.
42 – Mais au bout d’une demi-heure de piste plus ou moins chaotique les maisons disparaissent petit à petit et nous rencontrons enfin notre premier lek de combattants variés.
43 – Mais la météo est très changeante et lorsque le soleil pointe son nez, le voile atmosphérique est incroyablement dense. Je n’ai jamais vu çà, c’est impossible d’avoir une mise au point parfaite à quelques mètres d’un sujet.
44 – Bref tant bien que mal nous attendons les nuages.
5 – Un ami rencontré quelques jours avant nous avait indiqué ce lek et nous avait précisé qu’il ne fallait pas dépasser les pierres qu’il avait posés au sol. C’était la limite pour ne pas perturber les oiseaux et donc pour qu’ils ne partent pas ou le cas contraire pour qu’ils reviennent. Avec nos 500mm nous étions encore plus loin, dans la voiture.
Certes, c’était un peu loin mais nous avons pu faire nos premiers clichés46 – Même si je suis conscient que je ne vais pas pêter l’audimat avec les photos que je fais, je suis super heureux d’avoir vu ce spectacle que je souhaite à tous photographes quels qu’ils soient de voir çà un jour, magnifique !
Mais nous allons plus loin sur la piste pour voir un peu ……. et puis au bout d’un petit quart d’heure nous repérons un autre lek au bord d’un lac, mieux placé.
Nous allons pouvoir y accéder à couvert et les alentours nous montrent qu’il est possible de se cacher dans des replis de terrain. Les bottes, les gants, l’ensemble gore-tex et le bonnet sont mis. Les tentes affuts, bâches et filets sont embarqués, c’est parti !47 – Effectivement c’est mieux !
48 – Avec tous ces costumes, le mot « varié » qui va avec combattant prend tout son sens !
49 – Une femelle arrive ….. les courbettes s’enchaînent mais nous n’avons pas droit aux combats. Le copain nous avait avertis, les combats sont presque finis, c’est mou en ce moment …..
50 – Tant pis on fera avec, déjà content d’en avoir pris plein les mirettes
32 – Toujours de belles lumières dans les petits ports qui jalonnent cet immense fjord.
33 – Et puis c’est la rencontre avec cet immense rapace que je croise pour la première fois.
34 – L’oiseau est extrêmement farouche et les photos sont faites quasiment toutes de la route qui longe la côte où les oiseaux sont visibles perchés sur des rochers ou au sol entrain de manger leur prise.
35 – Ici c’est l’abondance et les ornithologues s’amusent à chercher les goélands arctiques (G. bourgmestre, G. à bec cerclé etc…) dans ces rassemblements
36 – Pour l’heure nous nous contentons des goélands cendrés
37 – Et des eiders à duvet
38 – La corneille mantelée est omniprésente dans cette partie de l’Europe
39 – Tout comme les goélands argentés ou marins.
40 – Mais il est temps de gagner l’intérieur des terres pour voir et tenter de photographier ceux pourquoi nous sommes venus.
Je fais une pause pour rappeler que toutes les photos et textes sont de Robert Balestra.
Plus d’infos sur l’auteur :http://rbalestra.wixsite.com/robert-balestra
Nous commençons par les bords de mer où les oiseaux sont abondants. La météo clémente ne nous permettra pas d’observer les magnifiques canards arctiques qui sont déjà remontés encore plus vers le nord (Eider à tête grise et eider de steller) et le plongeon à bec blanc. Mais pour le néophyte que je suis, il en reste bien assez pour tenter de faire de la photo.
21 – Eider à duvet.
22 – Et bien sûr les pygargues à queue blanche.
23 – Je vois pour la première fois les bécasseaux maubèche en plumage nuptial.
24 – Et je réussi à « cocher » le bécasseau de Temminck en nuptial dans sa zone de nidification
25 – Nous nous rendons à Ekkeroy après Vadso pour voir une immense colonie de mouettes tridactyle. Impressionnant !
26 – Tous les étages sont occupés.
27 – Vu que tout le monde a quelque chose à dire, cest une cacophonie incroyable !
28 – Et comme toujours, les grands corbeaux nichent à proximité de ce « garde à manger » inépuisable. Je précise que toutes ces photos sont faites à partir d’un chemin balisé où des panneaux signalent la zone à ne pas dépasser et donc les zones autorisées.
29 – Les bécasseaux violet eux aussi en plumage nuptial promènent dans les laisses de mer au pied de la falaise.
30 – Lorsque nous repartons du site nous devons attendre que ces sternes finissent leurs affaires au milieu de la route !
31 – Mais elles sont tout de même plus belles en vo
Nous remontons toujours cette route direction plein nord en traversant ces forêts qui s’étendent à l’infini. Le livre de Pascal Etienne « Norvège, Finlande, Suède, 20 ans de prospection naturalistes » mentionnait cette sensation de vide en parcourant la taïga: « ……tendez l’oreille : rien ! Pas un son, pas un cri, pas un battement d’ailes….. ». Nous avons vu à quel point c’est vrai.
Pourquoi ? Tout simplement parce que la forêt est démesurément vaste et que la faune y est disséminée ……. Et les points d’eau sont si nombreux qu’ils ne sont en aucun cas un point d’attraction où on peut espérer voir un peu plus d’oiseaux.9 – Mais à force de persévérance on arrive à croiser un tarin des aulnes par ci …
10 – Une grive mauvis par là ….
11 – Nous sommes dans le pays du sizerin flammé et dès que nous approchons d’une habitation où il y a quelques nourritures faciles à grappiller on ne peut pas le rater
12 – Nous nous arrêtons à Inari, dernière grand ville avant le Far-west ! Si nous avons oublié que nous sommes aux confins de l’Europe, quelques panneaux indicateurs nous le rappellent. Nous visitons le magnifique musée du peuple Sami où le côté nature n’est pas oublié avec des indications très précieuses sur certaines espèces.
13 – Et puis 2h30 plus tard et 200kms nous arrivons devant le Varangerfjorden …. et plus particulièrement l’Eglise Nesseby où nous avons rendez vous avec un copain qui parcours la Scandinavie depuis de nombreuses années
14 – Là c’est changement de registre ! Même si les oiseaux sont assez farouches (normal avec toutes les cartouches vides que nous avons vu ici et là) c’est l’abondance avec des opportunités photographiques plus nombreuses.
Harles bièvre.15 – Encore un beau flock de harles
16 – Nous choisissons de nous poser à Vestre Jakobselv pour 5 nuits d’où nous rayonnerons le long du fjord. Les chambres sont nickels (500 nok par nuit pour 3 personnes) avec une petite cuisine parfaite et un salon détente devant une mangeoire
17 – C’est l’occasion de faire quelques images sous le soleil de 22h30
18 – Avec ces vieux filets de pêche qui se déchirent au vent un peu comme les drapeaux de prières tibétains.
19 – Mais je n’ai pas perdu de vue les huitriers pie
20 – Ni les sternes arctiques toujours sous cette belle lumière
7 En attendant le prochain nourrissage, nos jeunes commencent à se muscler les ailes. Si vous comparez avec la photo 4, le plumage a beaucoup évolué en 3 jours (juin 2015)
Quelques photos de Nicolas :
Tu as même changer ton avatar :)
Une nouvelle photo ajoutée ce jour.
A l’honneur Claude Balcaen.C’est bon Yvon tu as ta réponse :)
Pour la petite main on s’en occupe…
Fr
Le vainqueur du thème 6 « le brame » : Serge Mathieu
24 Septembre 2015, « Quelques part en Bourgogne »
Actuellement, les populations de cerfs sont estimées entre 2 500 et 3 500 individus en Bourgogne.Nous avons donc décidé de passer deux semaines dans les paysages et massifs forestiers du Morvan en Bourgogne, pour essayer de réaliser des photos bien sur, mais avant tout pour écouter le brame du Cerf, c’est pour nous, chaque année une véritable communion avec la nature.
Nous avions quelques « tuyaux », mais les rencontres n’ont pas été faciles, après avoir localisé des secteurs prometteurs, nous avons fait de nombreux affûts avec à la clef quelques photos, mais la plupart entre les arbres, pas très « artistiques », jusqu’à cette photo où le Cerf s’est posé de face et relativement bien dégagé, un vrai moment fort de nature.Nikon D 700 – AF-S 500 mm – F/4, 1/320secondes – ISO 400 – moins 0,3 IL
Le vainqueur du thème 5 « la montagne » : Serge Mathieu
Décembre 2015, Parc National de la Vanoise « près de la porte de Rosuel »
Avec ma femme le but de nos trois jours en montagne était de réaliser quelques photos de Chamois, mais en conditions hivernales et de préférences dans une belle lumière!!! (non, non, nous ne sommes pas exigeants!!!)
Les deux premiers jours; brume, vent, et pas, ou très peu de lumière, donc pas, de photos, troisièmes et dernier jour, la fenêtre météo annoncée, semblent vouloir nous sourire, mais encore faut-il avoir le sujet où nous le souhaitons et à force de crapahuter pour être correctement placé, nous l’avons eu très brièvement, mais tout de même 5 photos auront été réalisées…Nikon D 300, AF-S VR 80×400 mm, Manuel, F/8, 1/800, ISO 100, -1 IL
Le vainqueur du thème 4 « libre » : Nico Periaut
Fin d’été, les herbes sont desséchées et apportent au diablotin un terrain de chasse idéal. A l’ombre d’une vieille bergerie, cette jeune empuse au sommet de son promontoire épineux est en quête de proies. Les grandes herbes folles et jaunies situées en arrière plan sont exagérément éclairées par le soleil. Cette configuration m’a donné l’idée de sous-exposer mon sujet afin d’obtenir une belle « ombre chinoise ». Lors du post-traitement, j’ai volontairement poussé les contrastes afin d’obtenir des noirs profonds et faire ressortir l’aspect enflammé de l’arrière plan, provoquant ainsi cet aspect surréaliste de la scène.
Canon 40d + sigma 105 macro non IS 1/100ème – f8 – iso 10
Le vainqueur du thème 3 « deux » : Philippe de Mauroy
C’est fin juillet, que je mis un après-midi à l’affût, espérant capter quelque scène de rut de chevreuil. C’est avec surprise et amusement que je vis, un peu tard, ce jeune chevreuil, « assassin » tardif, suivre pendant quelques minutes cette poule faisane pas à pas, accompagnant chaque changement de direction.
La prenait-il pour sa mère, lui faisait-il sa cour ou suivait-il par curiosité ? La question reste entière…Canon ef 500 f/4 monté sur Canon eos 7DmkII – Iso 5000 – f/4 – 1/640s
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