Toutes mes réponses sur les forums
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Mon Oliviernounet, mon Parrain,
Merci pour tout, heureux d’être devenu membre de l’ASCPF !
Bises,
Bonjour Pascale,
Merci beaucoup pour ce très gentil message de bienvenue, heureux d’intégrer l’ASCPF !
Amicalement,
Gilles,Bonjour Loïc,
Merci beaucoup pour ton message et très heureux de devenir membre de l’ASCPF.
Dans l’attente de te lire,
Très cordialement,Gilles,
Bonsoir Michèle,
Mes chaleureux remerciements pour ce très sympathique message et pour cet accueil qui me fait très plaisir.
À très bientôt,
Excellente soirée,
GillesBonjour Émilie,
Merci mille fois pour tes mots que j’apprécie beaucoup !
Excellent dimanche,
Gilles,Bonjour Franck,
Je suis très heureux et flatté que ma présentation t’ait séduit.
A très vite, j’espère …
Excellente journée,
très cordialement,
Gilles,Bonjour Loïc,
Un grand merci pour ce message que j’apprécie beaucoup !
Excellent dimanche,
Très cordialement,
GillesBonjour Maggy,
Très touché par tes mots qui ne pouvaient me faire plus plaisir !
Un grand merci pour ce message.
Excellent week-end,
Très cordialement,
GillesBonjour Pascale,
Très touché par ton message. Loïc avait effectivement bien raison de m’inviter à commenter les images que je vous avais transmises.
Excellente journée,
Très cordialement,
GillesBonjour Loïc,
Un grand merci pour ton message qui me fait très plaisir …
Ce périple en Ethiopie est mon dernier voyage en date et j’avoue, comme toi, que je ne suis pas encore tout à fait redescendu des steppes afro-alpines abyssiniennes tant la rencontre avec les Loups et les Géladas a été intense et émouvante.
Excellente journée,
Très cordialement,
GillesBonjour Olivier,
Un très grand merci …
Excellente journée,
Amitiés,
Gilles,Bonjour Pascale,
Merci mille fois pour tes mots très encourageants …
Excellente journée,
Très cordialement,
Gilles,Bonjour Corinne,
Je te remercie beaucoup pour ton très sympathique message.
Je suis heureux que mon portrait d’éléphant en clair-obscur t’ait particulièrement plu.
Excellente journée,
Très cordialement,
Gilles,Bonjour Loïc,
Pour faire suite à ta demande, je viens d’insérer sous chaque photo que je t’avais initialement transmise, un commentaire indiquant l’espèce, le lieu de prise de vue et l’histoire de la photo concernée.
Je t’en souhaite bonne réception,
Très cordialement,
Gilles,Voilà, sans informations sur la résolution des images à respecter sur ce forum, je vous ai transmis des photos de faible résolution. Si vous désirez que je vous renvoie ces clichés en résolution élevée, n’hésitez pas à me le demander.
Excellente fin de journée,
Photo n° 19
Ethiopie – Guassa Conservation Area :
Dès mon arrivée, en fin de journée, sur les Landes de Guassa, un groupe de Géladas était là comme s’il m’attendait avant de prendre le chemin des parois escarpés de la falaise où il passe la nuit. Je m’approche pianissimo, la quinzaine de Théropithèques me considère sans bouger. Après une quinzaine de minutes, ils se mettent tranquillement en marche et je les accompagne parallèlement à leur trajet. Alors que la troupe poursuit son parcours comme si nous n’existions pas, je m’arrête et après l’avoir suivie de mon regard, je me retourne pour observer les retardataires et là, à quelques mètres, assis sur un promontoire qui me domine, le flamboyant Chef du Clan, menton relevé, me toise de toute sa majesté ! Je suis subjugué, l’émotion de ce premier rendez-vous est à son comble.Photo n° 18
USA Alaska – Parc National du Katmaï :
Image d’un Grizzly s’élançant dans la rivière pour plonger dans l’eau pour attraper un saumon en pleine migration. Cette photo a été réalisée d’une position statique dans l’eau jusqu’aux cuisses à une trentaine de mètres du sujet sur l’autre rive du cours d’eau (rivière Moraine).Photo n° 17
Kenya – Masaï-Mara :
J’ai appelé cette photo « crépuscule d’une icône » ! Au début du 20ème siècle, le rhinocéros noir était le plus commun dans l’Afrique subsaharienne où sa population était estimée à 850.000 individus. Au lendemain de la 2ème guerre mondiale, l’homme a commencé à le chasser pour la viande, le « sport », pour « contrôler » sa population et en 1960, on ne comptait déjà plus que 100.000 rhinocéros noirs sauvages. Depuis les années 1970, avec l’insensé trafic mortifère de sa corne, près de 98 % de la population restante de rhinocéros noir a été décimée par les braconniers pour atteindre un plus bas en 1995 avec seulement 2400 individus. Aujourd’hui, la presque totalité de la population de rhinocéros noir se concentre dans 4 pays seulement : le Kenya, la Namibie, l’Afrique du Sud et le Zimbabwe, la plupart dans des zones protégées où les mesures de préservation ont permis la remontée de leur nombre à environ 5.000 mais, comme les cornes continuent de se négocier entre 50.000 et 70.000 € le kg (200.000 € pour une corne), le braconnage persiste rendant l’avenir de l’espèce plus qu’incertain …Photo n° 16
Kenya – Masaï-Mara :
Cette image est chère à mon cœur pour l’émotion qu’elle me procure. A l’origine, le cliché était une photo plus que banale d’un vieil éléphant dans la savane. Cette photo aurait pu finir à la corbeille si l’éclairage pleinement latéral par un soleil qui commençait à décliner ne m’avait pas donné l’idée de travailler l’image en post-production. J’ai donc créé « artificiellement » un clair-obscur qui, compte-tenu de l’angle aigu de frappe des rayons du soleil, révélait les profonds reliefs de la peau du pachyderme grâce à l’important champs des ombres portées.Photo n° 15
USA Alaska – Parc National du Katmaï :
Toujours à l’occasion de la migration des saumons pour le frai annuel, en fin de journée, après des heures et des heures de pêche, cet imposant mâle s’est tranquillement calé sur une grève pour prendre du repos et me donner l’occasion de faire des clichés notamment de ses redoutables armes que sont ses surpuissantes pattes terminées de redoutables griffes d’une quinzaine de centimètres.Photo n° 14
France – Nord – Forêt de Mormal
Cette photo a été réalisée lors d’une de mes premières expériences de prise de vue dans la Nature de notre pays. Après avoir été initié aux premières techniques et stratégies d’approche de la faune, j’ai pu y mesurer la difficulté de la mise en position de pouvoir réaliser des images de proximité. Ce jour-là, pas de cerfs, pas de biches mais le grand plaisir de ce contact avec des chevrettes.Photo n° 13
Kenya – Masaï-Mara :
Cette image a une incroyable histoire : Cette fin d’accouplement n’est pas le résultat de l’instinct de procréation ! Il faut savoir que les Léopards mâles n’hésitent pas à tuer les léopardeaux pour que leurs mères, interrompues en cela dans l’allaitement, reviennent en oestrus et qu’ils puissent ainsi de nouveau les « honorer ». Autre caractéristique importante à cette histoire, les coïts de Léopards se déroulent quasiment toujours dans les sous-bois, très loin des regards. La veille de ce cliché, nous avions vu cette femelle avec un petit d’environ 2 mois et lorsque, le jour de la prise de vue, nous avons vu la même femelle accompagnée du mâle et sans son petit, c’est avec une larme à l’œil que nous avons compris que le jeune avait probablement été tué par le mâle. Nous avons ensuite été très intrigués par le fait que la femelle minaudait autour du mâle en l’attirant vers les plaines en terrain totalement découvert et que les accouplements s’enchainaient toutes les 30 minutes. Une fois les 4 jours de la session d’accouplement terminés, le mâle est reparti de son côté, la femelle du sien. Le lendemain de la séparation, la radio de notre guide s’est mise à crépiter et les cris de joie se sont multipliés : un autre guide venait de repérer la même Léoparde de nouveau accompagnée de son petit !!! Nos guides Masaï nous ont alors expliqués que le phénomène avait déjà été décrit : à l’approche du mâle, cette femelle avait caché son jeune dans les broussailles, avait simulé son intérêt pour le mâle, s’était donnée « corps et âme » à lui en l’emmenant en terrain découvert au plus loin de son bébé et, une fois, ce monsieur « rassasié » et reparti, elle était revenue chercher son léopardeau qui, par son abnégation, a été sauvé d’une mort certaine. Alors, nous n’avons pas dû patienter pour prendre cette image précise mais les circonstances qui ont permis de faire cette prise de vue sont incroyablement exceptionnelles.Photo n° 12
Finlande – Kuikka
Cette image de Loup Gris (Canis Lupus) a été réalisée à partir d’un affût commercial de l’organisation de M. Lassi Rautiainen dans la région de l’Est Sauvage de la Finlande à proximité de la frontière russo-finlandaise.Photo n° 11
Kenya – Masaï-Mara :
Je dois cette photo au regard très aiguisé de mon Guide Masaï, Moses Gilisho, qui avait – de très loin – repéré dans les autres herbes, ce Serval en position recroquevillée de chasse. Sachant que ce félin fait une soixantaine de centimètres au garrot et que les herbes devaient faire 50 cm de haut, on mesure l’extraordinaire acuité visuelle de ce Guide. Nous nous sommes ensuite positionnés à distance pour ne pas interférer dans la chasse et avons eu la chance qu’elle se déclenche parfaitement parallèlement à notre position.Photo n° 10
Ethiopie – Mount Balé National Parc – Web Valley
Les Loups d’Abyssinie ont des comportements très particuliers et … attachants. Ils dorment de manière isolée. Après leur réveil, ils courent, parfois sur de longues distances, pour retrouver les autres membres de leur groupe. Une fois ensemble, ils se livrent à une exubérante fête de retrouvaille qui peut durer jusqu’à une heure avant de se mettre en marche de concert pendant quelques kilomètres puis de partir chacun de leur côté pour le reste de la journée pour chasser individuellement uniquement pour eux-mêmes. En fin de journée, processus inverse, ils se regroupent pour un nouveau moment de retrouvaille avec de s’égayer chacun de leur côté pour dormir où ils auront décidé, ce soir-là, de le faire. Cette image a été réalisée avant la mise en marche pour le regroupement du matin.Photo n° 09
Kenya – Masaï-Mara :
Et que dire du Guépard dont je veux croire que ma photo le montre en train de fixer un « avenir incertain » … Au début du 20ème siècle, on comptait environ 100.000 guépards vivant à travers l’Asie et l’Afrique. En ce début du 21ème siècle, il resterait moins de 7.000 individus répartis dans 26 pays africains. Aujourd’hui, les populations viables se trouvent dans moins de la moitié des pays où les guépards existent toujours. A ce jour, toutes les populations de guépards sont inscrites sur l’annexe I de la CITES comme espèces menacées d’extinction et sont répertoriées sur la liste rouge de l’UICN comme espèces « vulnérables » ou « en danger d’extinction ».Photo n° 08
Kenya – Masaï-Mara :
Cette image est un hommage aux Vautours (celui-ci est un Vautour Oricou – Torgos Tracheliotos) que beaucoup considèrent comme communs et abondants alors que l’organisme « Birdlife » confirme que sa population est en déclin constant depuis 30 ans. Ses effectifs ont, par exemple, diminué de plus de 90 % en Afrique Occidentale. Ils ont également baissé au Soudan et au Kenya. En revanche, ils semblent encore stables en Ethiopie et en Tanzanie mais pour combien de temps ? Les Vautours africains sont confrontés aux mêmes menaces que les autres espèces de vautours : conversion des terres pour l’agriculture et l’élevage, diminution importante des ongulés ce qui entraîne une réduction du nombre des carcasses, chasse et persécution par empoisonnement. L’électrocution par les lignes à haute tension est également un problème dans certaines parties de leur aire de distribution.Photo n° 07
Kenya – Masaï-Mara :
Le Léopard est le seul félin qui a grande facilité à grimper aux arbres. C’est même une de ses stratégies pour observer son environnement, se reposer en toute quiétude et, surtout, pour mettre à l’abri les proies qu’il a occises de manière à pouvoir les dévorer tranquillement sans risque de se les faire voler par d’autres prédateurs. Les capacités de grimpeur du Léopard sont étonnantes car grâce à une large puissante mâchoire, de courtes pattes abaissant son centre de gravité, des épaules à la musculation surdimensionnée, il est capable de hisser des proies plus lourdes que lui. Même si cette image laisse à penser que le Léopard s’est installé dans une position d’observation, il est en réalité en cours d’ascension vers les hautes branches de cet arbre.Photo n° 06
Kenya – Masaï-Mara :
En fin de journée, mon guide Masaï a repéré le vol d’altitude de plusieurs Aigles Martial, l’Aigle à la plus importante envergure des rapaces d’Afrique pouvant atteindre 2,60 mètres. Le véhicule est stoppé à proximité d’un petit cours d’eau bordé d’arbre et nous nous mettons à l’affut. Par une bonté de la Nature, un des Aigles se détache, entame sa descente et approche de notre position pour se poser au sommet d’un arbre me donnant l’opportunité de déclencher quelques secondes avant l’atterrissage alors que le superbe rapace est face au soleil couchant.Photo n° 05
Ethiopie – Mount Balé National Parc – Web Valley
Sur les steppes afro-alpines du Mount Balé National Parc situé au sud-est de la capitale, à environ 3600 m d’altitude, vivent les derniers 500 individus de Loup d’Abyssinie. Cette magnifique espèce de canidés totalement endémique de l’Ethiopie a failli disparaitre durant les 5 dernières années du fait de la Maladie de Carré et de la Rage transmises par les chiens errants. Un programme très engagé de vaccination administrée par injection au fusil hypodermique ou largage de viande contenant le sérum a permis d’enrayer les maladies qui, dans certains secteurs, ont néanmoins causé une mortalité de près de 60 % des individus. Pour la réalisation de cette image, j’étais posté à l’abri des roches de basalte, à longue distance des sujets avec une très longue focale. Les canidés tranquillement installés, s’étaient distribués la surveillance du secteur mais, extraordinaire comportement, même si le Loup de droite me tournait le dos, j’étais localisé et surveillé de manière auditive grâce à ses oreilles … tournées à 180° vers moi. -
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