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Bonjour.
Je possède le 500 f4 et le 200/500 f 5.6.
Je n’utilise le 500 que sur trépied alors que le 200/500 est largement utilisable à main levée
Je suis très content de ces deux objectifs tant sur le D500 que sur le D850Hugo
Hello Bernard.
J’ai post- traité la photo avec DXO et j’ai retenu ce que le logiciel me proposait.
Autant je peux ramper pour faire des photos, autant je suis très mauvais sur un ordinateur…. Désolé ! ! !Hello Pascale !
En effet, tu as tout dit et j’ai donc bossé sur la question……
Voila le résultat. J’ai pris en compte tes remarques et j’ai essayé de cadrer un peu mieux et aussi un peu plus large.
Pour rester sur la photo d’origine, je suis resté sur le même sujet.Mon cher Loïc….. J’ai tenté de préserver la sensibilité des plus jeunes de l’ASCPF que je sais très prudes, innocents et timides. C’est pourquoi, au lieu de flouter certaines parties de Mme Martin, j’ai choisi cette photo ou une feuille fait bien le travail …
Amicalement
Bonjour Franck !
Désolé pour la contre plongée, mais comme tu le dis c’est le terrain et les circonstances qui commandent.
Je vais essayer de faire pencher le perchoir car je ne peux rehausser mon affût !Ps) ne jamais dire à une femme « Elle a tout dit »…. Parole de macho ! …..Pascale, pas taper
Hello Pascale. Merci !
J’ai cadré directement en vertical car je pensais qu’elle allait, comme à son habitude, pencher bien plus le regard vers l’eau en dessous…. Manque de pot, ce jour là elle a gardé quasiment tout le temps sa tête presque à l’horizontale !
J’aurai bien voulu tourner mon appareil mais étant à moins de trois mètre j’ai eu peur de la faire fuir.
Belle fin de we à toi !Bises !
Bonsoir Pascale.
Je te remercie pour tes conseils. Je répond ainsi un peu à ta question : Pourquoi vouloir adhérer à l’association ?
Adhérer est, à mes yeux, un excellent moyen de progresser au contact de gens vivant une passion commune. Olivier et Emilie peuvent te confirmer le fait que je pose peu de question mais que je suis toujours à l’écoute des conseils qui me sont adressés (ou qui sont adressés à d’autres…. Je suis preneur). C’est bien cette recherche de conseils et d’avis constructifs qui motivent ma démarche et je pense que les membres de l’association sont au top pour me guider et m’apprendre à corriger mes erreurs.Que puis-je apporter à l’association ? Je n’aurai pas la prétention de parler de mon travail photographique car je suis très très loin de l’expertise de la plupart des membres. Admirer l’exposition à Montier à été pour moi une bien grande leçon de modestie. Par contre, je peux offrir un peu de mon temps libre ainsi que ma connaissance en aménagement du territoire au profit de la faune sauvage. En tant que régisseur, mon cœur de métier est « d’organiser » et je pourrai peut-être aussi donner un coup de main lors de sorties photos. Je ne connais que très peu la vie interne de l’association même si tu m’en a parlé en Bavière. Je ne demande qu’à découvrir tout cela et je n’hésiterai pas à m’investir du mieux que je peux avec mes modestes compétences.
Voila Pascale, j’espère avoir répondu à tes questions. N’hésite pas à m’en poser d’autres , je n’ai rien à cacher !
Suite à une recommandation tout à fait justifiée d’Olivier Hervieu, je me dois d’ajouter un index des espèces publiées ci-dessus :
1 : Martin pêcheur
2 : Écureuil roux
3 : Lièvre
4 : Mésange bleue
5 : Mésange charbonnière
6 : Mésange huppée
7 : Mésange Nonnette
8 : Brocard (Chevreuil mâle adulte)
9 : Grèbe castagneux
10 : Grenouille verte
11 : Pic mar
12 : Ouette d’Egypte
13 : Rouge gorge familier
14 : Pipit maritime
15 : Buse variable
16 : Tarier pâtre
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Et pour finir cette petite présentation, un oiseau que je ne connaissais pas encore. Sur des renseignements d’amis vivant sur place j’ai pu saisir ce tarier pâtre dans des conditions très « BZH »
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Toujours dans les côtes d’Armor, j’ai pu admirer le mimétisme de cette buse variable14
Direction la Bretagne et les Côtes d’Armor en particulier.
Cet oiseau m’en a fait voir de toutes les couleurs au printemps, quasiment impossible à photographier. Cet hiver il a dû avoir pitié de moi et s’est laissé shooter comme une star !13
Un incontournable, ou que je passe, ou que je me pose….. Il y en a toujours un qui vient me rendre visite12
Parfois je rencontre des oiseaux un peu exotiques comme cette ouette d’Egypte qui s’était mêlée à une volée de bernaches du Canada11
Très farouche, le pic mar semble complètement désinhibé au printemps. Cliché pris juste au dessus d’un affût au martin pêcheur10
Une autre bénéficiaire du fauchage différencié des berges de l’étang… Une belle aux yeux dorés9
En ne fauchant les roseaux de l’étang que par un tiers par an, je pense que les grèbes castagnieux ont enfin des zones de tranquillité pour se reproduire. Ils sont maintenant présents tous les ans.8
Un joli brocard que j’ai pu suivre tous les jours de mi-juillet à fin août 2019….. J’espère qu’il sera au rendez vous cette année encore !7
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Mes auxiliaires dans la lutte de la chenille processionnaire du pin : les mésanges.
Pour favoriser leur présence j’ai installé 40 nichoirs, j’ai fait laisser du bois en décomposition et cessé de tondre à outrance afin de favoriser la présence d’insectes indispensables à leur présence3
Un hôte qui avait quasiment disparu, chasse intensive aux abords de mon territoire de jeu ? Maladie ?
Sa population semble repartir à la hausse suivant mes dernières observations2
Un autre animal qui a toute mon attention. Je peux passer des heures à l’observer !1
Pour commencer, voici l’oiseau qui m’a fait basculer vers la photographie animalière.
Présent ponctuellement sur l’étang du Domaine de Courson, sa venue est toujours synonyme d’affûts longs et très prenants !Ces quelques lignes pour me présenter.
Célibataire de 55 ans, j’ai découvert la photographie animalière en 2015 et depuis cette passion ne m’a plus quittée. Elle a eu aussi un impact important sur ma vie professionnelle et par là même sur une toute petite partie de la faune sauvage du département de l’EssonneJe suis régisseur d’un château et de son parc de 40 hectares aux portes de Paris. Je peux donc assouvir ma passion dans des conditions particulièrement favorables. Toutefois je ne passe pas tout mon temps à faire des photos. Beaucoup d’heures sur le terrain sont l’occasion de faire des aménagements pour favoriser la faune sauvage sous toutes ses formes. La pratique de la photo animalière m’a ainsi donné l’occasion de faire différents constats alarmants qui m’ont fait revoir du tout au tout ma façon de gérer le domaine dont j’ai la charge. Les résultats sont plus que probants car il n’y a pas une année sans voir arriver de nouveaux « locataires » et de voir progresser les populations de ceux déjà présents !
Je pratique la chasse photographique principalement à l’affût et à l’approche, ma préférence va à la faune française en général et celle de l’île de France et de la Bretagne en particulier. Mon plus grand plaisir est de pouvoir approcher un animal, l’observer, éventuellement le photographier et surtout : me retirer sans qu’il ne se soit aperçu de ma présence ! Toutes les photos ci-après sont d’animaux totalement libres, sauvages et non habitués à l’homme. La plupart de ces clichés ont été pris au Domaine de Courson (91) ou à Port Blanc (22) avec comme matériel un Nikon D500 et un Nikkor 200/500 f5.6 pour l’approche et un D850 et un Sigma 500 f4 pour l’affût.Pourquoi postuler à l’A.S.C.P.F ? Ayant participé à des stages avec Olivier Hervieu et Emilie Tournier, j’ai été invité à assister aux séances techniques à Paris. J’ai été agréablement surpris d’y être accueilli avec autant de gentillesse et de simplicité par les membres présents. J’aimerai donc, au contact de ces membres, continuer à progresser dans ma pratique tout en apportant (très modestement) une pierre à ce bel édifice.
Ma modeste contribution
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