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Passez de très belles fêtes de fin d’année.
Je vous souhaite une excellente année 2021 riche de nature et d’émerveillement.
Jean-Marie
Un peu de légèreté, de suggestion pour terminer l’année tout en douceur
Parc national de la Vanoise
Merci à tous… et si vous souhaitez vous replonger dans ce voyage photographique, le livre dédicacé est dispo et sera livré à temps pour les fêtes ;)
Encore merci à tous pour cette rencontre.
Pour vous souhaiter un bon week-end, une petite image que j’aime beaucoup en raison du comportement de l’ours.
Merci à tous pour votre participation.
J’ai vraiment passé une très belle soirée.
Si vous êtes intéressé par le livre Horizons suspendus, voici le lien https://jean-marie-seveno.fr/produit/horizons-suspendus/
Et si on passait la soirée en Arctique?
Une image simple que j’aime bien en raison du dégradé de bleu… rien de difficile techniquement
Pour la panthère, plusieurs facteurs rendent les images difficiles: déjà la rareté de l’animal (là où j’étais, la densité est dite « forte » avec 20 individus sur une surface équivalente à un département français moyen), le mimétisme et l’altitude. Je m’y suis rendu en février car, elles sont plus mobiles qu’à l’accoutumée: il s’agit de la période des amours. Par ailleurs, en hiver, théoriquement, elles descendent davantage en vallée pour chasser les herbivores qui s’y trouvent, les sommets étant recouverts de neige. Malheureusement pour moi, il n’avait pas neigé quand j’y étais et donc tout le monde restait là-haut, aux environs des 5000m.
Tous les jours ou presque je passais de 3700m (où se situait mon campement) à 4400-4500m pour tenter d’en observer. Beaucoup de journées passées à s’user les rétines et puis parfois…
Bonsoir à tous,
Un peu en retard sur les publications, désolés (quelques imprévus au programme).
Aujourd’hui on reste sur le thème montagne avec une double ration. Tout d’abord une hermine intrépide qui ne m’a autorisé que quelques clichés. Initialement j’étais parti pour photographier un gypaète mais le mustélidé ne m’a pas laissé indifférent. Je suis resté 1h30 avec cette hermine puis, alors que je m’apprêtais à poursuivre mon chemin, je vis le gypaète rejoindre la zone sur laquelle j’avais prévu de me rendre… trop tard, mais sans rancune!
Pour la 2 ème photo, je vous laisse trouver Charlie
Merci à tous pour vos commentaires enthousiastes et vos interrogations pertinentes.
Nouvelle image, cette fois on se promène dans les Alpes avec une photo de gypaète barbu en plein hiver.
En photo, en ce qui me concerne, le biotope est tout aussi important que le sujet; en témoigne cette rencontre en plein coeur de la Vanoise.
Toujours en Colombie Britannique, cette fois avec une baleine à bosse. J’alternais les sorties le long des cours d’eau pour aller observer les ours avec les sorties en mer pour chercher des cétacés.
Contrairement à l’image précédente où j’ai mis l’accent sur une vitesse lente, il la vitesse élevée était nécessaire pour figer les gouttes d’eau.
Ici j’ai utilisé un plein format avec un 500mm; l’image n’est pas recadrée (comme aucune de mes images d’ailleurs)
Loïc, oui il s’agit d’une pose lente (1/8ème de seconde). Réalisé au 70-200 sur un plein format; trépied et télécommande filaire pour éviter le bougé au moment du déclenchement.
Après une trentaine d’images floues (la tête était invisible car il ne cessait de regarder si un saumon passait), l’ours s’est immobilisé… et voilà.
Franck, des loups, j’en ai vu, mais que ça a été compliqué; on en reparlera lors de la visio
Autre ambiance, même continent… mais un peu plus au nord. Nous voici en Colombie Britannique (Canada) dans une région que l’on nomme la Forêt Pluviale du Grand Ours. J’adore cette partie du monde, la forêt primaire, la brume omniprésente et ses habitants.
On peut y rencontrer des ours bruns, loups, lynx, puma, pygargues, loutres et tellement d’autres. En 2014 j’avais pour objectif d’y rencontre l’ours Kermode. Il s’agit ni plus ni moins que d’un ours noir qui a la particularité de présenter un pelage blanc-crème. Ce n’est pas de l’albinisme; il présente cette couleur car il est porteur d’un gène récessif. Autre particularité… sa population n’excède pas les 400 individus au monde, tous concentrés dans cette partie du Canada.
L’hiver austral est selon moi la meilleure période car il y moins de vent que l’été et surtout il y a moins de monde: la fréquentation du parc est très importante en décembre, janvier et février. En mai et juin c’est l’inverse; sur mon 1er séjour je n’ai croisé personne. Par ailleurs, les animaux se déplacent alors plus facilement en plein jour.
Jean-Marie
Bonsoir à tous,
Merci pour vos compliments.
Concernant les différences entre le lynx et le puma, le lynx pèse maxi 35 kg quand un puma atteint les 90 kg (les femelles atteignent les 60 kg. En terme de taille, ils sont aussi hauts l’un que l’autre mais le puma est plus allongé. Il s’abrite dans les cavités rocheuses pour se protéger du vent, de la neige ou de la pluie. Sinon il profite des buissons pour devenir invisible et saisir le guanaco imprudent qui passe à proximité.
Il n’est pas très apprécié des éleveurs puisqu’ils n’hésitent pas à prélever quelques moutons, même si le félin est protégé intégralement. Les gauchos ne peuvent surveiller l’ensemble de leur cheptel tant les domaines sont monumentaux. En revanche, dans et autour des parcs nationaux, l’ensemble de la faune bénéficie de la protection des gardes de parc. Le puma ne cherche pas le contact avec l’Homme. Certains individus ne se laissent pas approchés à moins de 300m quand d’autres viennent parfois à quelques mètres.
Nouvelle image, toujours au Chili. Un animal qui m’a fait rêver très longtemps: le puma. Un félin magnifique que j’ai pu rencontré à plusieurs reprises.
Ici j’ai trouvé intéressant sa posture… en fait c’est parce que ce mâle était très costaud qu’il a dû se pencher. Pas grand chose à craindre du puma, c’est un animal discret qui ne cherche pas le contact avec l’Homme. S’il est proche c’est essentiellement par curiosité.
Merci beaucoup pour vos retours; je vous présenterai très prochainement de nouveaux clichés
Bonjour à tous,
Un grand merci de m’accueillir, c’est avec plaisir et en toute humilité que je vais vous présenter mon travail.
Je vis en Bretagne, plus exactement en Morbihan, j’ai 43 ans et je consacre ma vie à la nature.
Je suis photographe pro. La vente d’images ne permettant pas aujourd’hui de vivre pleinement, j’ai rajouté quelques cordes à mon arc. Ainsi j’accompagne des séjours à l’étranger (principalement Arctique et Chili), je propose des stages d’initiation et perfectionnement dans le Golfe du Morbihan, j’interviens en milieu scolaire pour sensibiliser au patrimoine naturel qu’il soit proche ou lointain et enfin j’expose mon travail dans divers salons et festivals, principalement les évènements liés à la photo nature.
Pour vous remercier, une première image que j’affectionne beaucoup car elle représente tout ce que je recherche: de la simplicité, un rendu très épuré où l’oeil est attiré instinctivement vers le sujet (ici une chevêchette australe photographiée en Patagonie à l’occasion d’un séjour axé sur la recherche du puma) et surtout un animal tranquille qui ne cherche aucunement la fuite.
Jean-Marie
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