Toutes mes réponses sur les forums
-
Bonjour et merci Pascale, Loïc, Franck (toujours pas vu de neige à Nîmes :-)) et Bernard !
212 Les écureuils se déplacent maintenant quasi exclusivement dans la végétation basse, on ne les voit qu’une fraction de seconde, photo très difficile, celui-ci a bien voulu faire une brève incursion un peu plus haut et me laisser quelques secondes !
213 L’autre occasion de photo est le saut qu’ils font souvent pour le retour chez eux, c’est très bas (comme l’ensemble de leur déplacement), jamais au soleil. Ils utilisent comme point de départ une branche de cyprès qui est un peu détachée, en surgissant du cyprès et en faisant plier la branche, comme sur la photo 209. Ici c’est plus tard (vers 12H) et avec du soleil.
214 Du coup je me suis un peu concentré là-dessus, quand la météo voulait bien me le permettre. Le 16 février, celui-ci a changé d’avis et arrivé au milieu, a fait demi-tour …
215 … et est reparti vers le cyprès …
216 Il a recommencé deux fois, puis est finalement venu bien au bout, s’est arrêté brièvement dans une attitude qui donne l’impression de ne pas être rassuré mais avec les pattes arrières prêtes à pousser !
217 1/10 de seconde plus tard, il vole !
A suivre !
JP
Bienvenue Alain, c’est un plaisir de te voir enfin nous rejoindre !
A bientôt j’espère dans la vraie vie … de l’ASCPF
JP
Bonjour et merci Serge, Pascale et Franck !
Bien sûr, la 210 est plus documentaire qu’esthétique, et pourtant je vais vous en remettre une autre assez proche …
211 Le 31 janvier, le temps n’a pas vraiment changé … La nouveauté c’est que nos écureuil ne se contentent plus de venir se chauffer au soleil et à l’abri du vent sur ce cèdre, mais maintenant (première observation depuis 3 ans) ils en profitent pour s’alimenter en mangeant des « feuilles » de cèdre ! Il faut dire que ça leur évite des efforts puisque je pense que leurs nids sont dans cet arbre !
Du coup on ne les voit quasi plus ailleurs, d’autant que progressivement avec le mistral qui perdure, ils semblent s’être adaptés et quand ils se déplacent, ils le font bas dans la végétation, ce qui complique leur observation ! De toute manière, quand il y a du vent fort, il est plus difficile de les voir car pour repérer un écureuil, il faut anticiper et le mouvement des branches produit par leurs déplacements est d’une grande aide. Et le vent fort fait bouger toutes les branches en permanence !
Mais bon, on s’accroche
JP
Je n’ai pas que le plaisir mais aussi l’honneur de parrainer Olivier, la concurrence a été rude
En fait, Olivier et moi avons beaucoup fréquenté l’Afrique au même endroit, mais le hasard n’a pas voulu que nous y soyons en même temps. Et du coup nous avons fait connaissance à Pont de Gau en Camargue, à mi chemin entre nos domiciles respectifs, où nous avons ensuite eu plusieurs occasions de nous revoir.
Certains d’entre vous ont participé à la ST en ligne de ce mois, dont Olivier était l’invité, et ont déjà perçu qui était Olivier (pour les autres, je vous suggère de regarder la vidéo en ligne sur FB). Du coup, je ne vais pas trop m’étendre, juste vous dire que je pense qu’Olivier et moi partageons beaucoup de valeurs. Il est sincère, aime le partage et met le vécu de l’instant avant la photo, ce qui ne l’empêche pas de tirer parti au mieux de chaque opportunité grâce à sa bonne maitrise de la technique !
Bref, ce sera un super camarade de l’ASCPF !
Olivier, la parole est à toi !
JP
Bonjour et merci Serge, Yvon, Franck et Bernard pour vos commentaires !
Petite suite, le 19 janvier il faisait froid mais le vent s’est levé tard et le matin ça a inspiré les écureuils et le photographe
208 Remontée dans les arbres après être descendu à la recherche de nourriture stockée au sol
209 Concentration pendant 1,5 secondes avant de sauter !
210 Le 22 janvier, mistral 70km et grand soleil ! Du coup, cet écureuil fait une sieste de 20mn au soleil, il est bien abrité du vent par la végétation dense de ce cèdre.
JP
Depuis début décembre, les observations d’écureuils étaient très sporadiques, quelques passages éclair de temps en temps dans une lumière grise, et du coup moins de motivation du photographe …
Mais le 12 janvier, le astres étaient alignés …
203 Celui-ci a profité du soleil pour prendre sa pause, petite période de repos qu’ils pratiquent régulièrement mais de manière plus discrète.
204 Comportement un peu difficile à comprendre : il a passé 5mn à progresser doucement sur un muret puis sur ce tronc à sentir le sol, j’ai cru qu’il léchait (ce qu’il fait de temps en temps à la recherche de minéraux) mais je ne crois pas car sur aucune photo je ne vois sa langue.
205 Début décembre il cachait des provision ? Et bien là il les cherche …
206 … et trouve !
207 Le 14 janvier, petite démonstration d’équilibriste
Je crois que je vais investir pour exploiter tout le potentiel de cet endroit, qui semble entrer progressivement dans les habitudes … A suivre donc !
JP
Bonjour et merci Maggy, Pascale, Dominique et Loïc ! L’effet papillon !
Pour cette dernière mise à jour, un petit résumé du cycle de reproduction de nos grèbes huppés …
20 On commence avec une parade au petit matin
21 Il faut défendre le territoire
22 Construction du nid, ici au milieu de nulle part. Il y a 50 cm d’eau, donc il faut entasser des branches jusqu’à la surface, mâle et femelle contribuent en allant parfois chercher ensemble les matériaux à l’autre bout de l’étang
23 Un des deux est petit joueur !
24 Ça commence à émerger !
25 Un petit coup de parade à coté de l’ébauche du nid
26 Passage à l’acte !
Malheureusement, quand je suis revenu, le nid avait été abandonné, il faut dire que l’emplacement n’était pas top, je n’en ai jamais vu d’aussi exposé ! Ils ont recommencé dans un endroit non accessible en affut flottant, mais j’ai passé plusieurs bonnes matinées à observer cette tranche de vie !
C’est la fin de ce que je voulais vous montrer, mais peut-être qu’en finissant le tri je vais retrouver une photo à réhabiliter
JP
Bonjour et merci Maggy !
C’est vrai que l’écureuil ne chôme pas, pour notre plus grand plaisir ! En ce moment c’est calme, le mistral rend difficile notre capacité à les repérer grâce aux branches qui bougent, et le temps gris ne motive pas le photographe, mais ils sont toujours là et tout reste possible si on s’accroche
JP
Bonjour et merci Dominique, Franck et Pascale pour vos commentaires !
Bon on va passer aux grèbes huppés, comme d’habitude (et en plus sans grèbes à cou noir) je me suis un peu lâché, du coup on va faire en 2 temps …
15 Lumière matinale …
16 Toilette énergique !
17 Le repas l’est aussi (énergique !), c’est le menu standard …
18 … mais il s’intéresse aussi des proies aériennes …
19 … en particulier quand elles ont atterri
A suivre …
JP
Hello, Loïc m’ayant donné du temps pour les huppés, j’en profite pour mettre quelques autres photos avant …
9 Il faut bien mettre une rousserolle
10 Pour changer, un peu de végétation (si si, prise en affût flottant !)
11 Encore une petite photo d’ambiance matinale, les habitué(e)s reconnaitront l’étang …
12 Et quelques oiseaux qui ne flottent pas : héron pourpré …
13 … aigrette garzette …
14 … et bihoreau gris
Les huppés se rapprochent
JP
Bonjour et merci Jean-Louis, c’était une première pour moi !
Loïc, tu as probablement raison … ou pas
JP
Fin octobre 2022, nos écureuils ont une activité principale que je n’avais jamais observée, à savoir récolter des glands de chêne vert. La littérature explique souvent que l’écureuil roux a du mal à exploiter les ressources des feuillus, ce qui explique la progression des écureuils gris quand la proportion de résineux n’est pas suffisante.
Il est possible que ça soit plus subtile que ça, p.ex. que ça dépende de l’espèce d’arbre, ou que ce soit variable suivant les individus … en tous cas ils ont bien profité de la météo exceptionnelle et c’était un plaisir de les observer s’activer !
197 Petite séquence dans le chêne vert : repérage …
198 … cueillette la tête en bas …
199 … ou la tête en haut !
200 Les glands sont ensuite répartis et stockés en prévision de l’hiver, au sol à proximité du chêne …
201
202 … ou emportés ailleurs (ici 2 à la fois !) par voie aérienne en direction du grand cèdre dans lequel ils semblent nicher
Avec l’arrivée d’une météo de saison et le peu de glands restant dans le chêne, la page s’est tournée ! Mais une autre va certainement s’ouvrir
JP
