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- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 5 mois par Franck Lesueur.
Merci à tous pour vos commentaires intéressants et constructifs.
Oui, Loïc la photo du flambé avec les herbes me plaît bien comme çà aussi. J’ai changé aussi un peu la luminosité sur les conseils de Claude.
Pour le bruit, j’ai conscience que je ne résoudrai pas complètement le problème de façon logicielle. C’est plutôt ma pratique qu’il faut revoir. J’ai l’intention de faire moins de billebaude et plus d’affût, même pour les oiseaux. Pour cela, je vais repérer et surveiller mes « spots » et un bon camouflage ( merci encore Claude pour tes conseils avisés ), je pourrai photographier de plus près.
Je ne pratique la photo animalière de façon intensive et quasiment exclusive que depuis 4/5 ans. J’en découvre des aspects que ne rencontrais pas dans la photo de paysage ou la photo de nature statique.
Cordialement. JosephPhoto N° 8. Flambé et abeille sauvage au Grand Voyeux ( 77 ).
Je m’étais attardé sur ce joli flambé au soleil posé sur une orchidéé, quand une abeille sauvage s’est invitée dans le champ de mon objectif, formant ainsi une belle composition de circonstance.Merci Pascale pour ton intéressant message.
Oui je passe beaucoup de temps à arpenter les espaces naturels près de chez moi ou lors de séjours de quelques jours un peu plus loin. J’aime avoir une bonne connaissance du terrain et de ce qui s’y passe pour photographier et donc je fréquente souvent les mêmes lieux.
Pour le bruit, j’en ai conscience. J’opère le plus souvent en billebaude, le matériel porté sur l’épaule. Il s’agit pour les oiseaux d’un boitier Nikon D850, d’un zoom 200-500, parfois avec un multiplicateur 1,4, fixé à un monopode. Pour les insectes je fais de la proxi avec un 300 et parfois de la macro.
J’ai conscience du bruit dû au fait que je ne renonce pas à une photo lointaine que je dois recadrer parfois beaucoup, ou dû à la faible luminosité des sous-bois qui m’oblige à monter en sensibilité. Le bruit appararaît malgré la haute sensibilité du capteur.
Je fais mes réglages manuellement, sauf les zizos que je laisse en mode auto, limités entre 5000 et 8000. Le fait de devoir adopter des vitesses rapides me fait aussi grimper en sensibilité, d’où une augmentation potentielle du bruit.
Je développe mes raw avec lightroom, complété exceptionnellement par photoshop si nécessaire pour certaines retouches. Je n’utilise pas les curseurs de débruitage de lightroom que je trouve peu efficaces et qui provoquent trop de lissage à mon goût. Vivement le nouvel outil de débruitage annoncé ( ou plutôt chuchoté ) ici ou là qui devrait arriver bientôt. Il devra concurrencer deep prime, auquel j’ai renoncé parce que je l’imagine peu pratique à utiliser avec lightroom.
Enfin, j’ai tendance, peut-être à tort, à accepter du bruit quand il affecte principalement les arrière-plans et peu le sujet principal. Faute de mieux bien sûr. De toutes façons, j’ai hâte d’améliorer les choses.
J’espère ne pas avoir été trop long. Ce petit exercice me montre qu’il faut parfois beaucoup de développement pour décrire une partie de sa démarche photographique, même succintement.20 – Geai des chênes. Parc de la poudrerie
Ce beau spécimen au regard d’azur fait une pause matinale dans ce décor harmonieux assorti à ses couleurs, sans doute avant de continuer sa quête d’insectes. J’en photographie souvent , à cause de mon goût indéfectible et mon attirance pour la couleur19 – Ecureuil dans le parc de la poudrerie à Sevran
Très vif et toujours aux aguets, il est prêt à réagir . Ca lui donne un air sympathique et de multiples positions et » expressions » que je ne me lasse pas de photographier. Il faut dire qu’il a souvent besoin de se défendre, en raison de son habitude de chaparder la nourriture des autres et les oeufs dans les nids à la saison.18 – Martin-pêcheur au même endroit
Bonne pêche. J’en ai vu ingurgiter jusqu’à 8 poissons en une demi-heure. Mais comment font-ils vu leur taille ? Ou alors va-t-il tenter d’offrir sa prise à la martine à coté sur la même branche ? Si elle accepte l’offrande, elle sera sa partenaire pour la saison.18 – Martin-pêcheur à une mare dans le bois de Vincennes
Vers février-mars, c’est la période de l’appairage pour le martin-pêcheur. Quelques-uns quittent les bords de Marne et se retrouvent à cette petite mare poissonneuse cernée de roseaux. Ce mâle plonge à une vitesse vertigineuse et ressort avec une proie presque à chaque fois.16 – Renard en lisière de forêt à Rambouillet
En septembre dernier, alors que j’avais installé mon affût un peu avant le lever du jour, ce n’est que vers 9 heures qu’il n’est venu chasser le mulot à proximité. Au bout d’un moment, il m’a détecté et ma regardé longuement. Puis il s’est éloigné, tout en continuant sa chasse apparemment.15 – Cormoran sur un étang à Meudon
Le cormoran a bien pêché ce matin. Repus, il se pose face au soleil ailes écartées pour faire sécher ses plumes, avant de pouvoir s’envoler.14 – Héron dans les bois de Meudon
En cette matinée de février, les étangs sont gelés et le héron doit attendre pour sa pêche matinale. Il a choisi de se poser face au soleil d’hiver, sur les restes d’un ancien nid, et les plumes écartées pour laisser passer l’air qui va l’isoler du froid.13 – Libellule au Pré Catelan
Mi-septembre, les fleurs sont encore là, surtout dans les parcs entretenus. Cette libellule, par ses couleurs, montre déjà sa fin de vie proche, mais continue sa mission auprès de la nature.12 – Le cerf élaphe, juste après.
Il est resté un bon moment à regarder dans ma direction. Danger ou pas ? Puis il a décidé de rentrer dans les feuillages. Désolé pour le dérangement et à une prochaine fois.11 – Cerf élaphe en forêt de Rambouillet
Juste avant la tombée de la nuit, ce majestueux 14 pointes s’est déjà mis à découvert et s’offre au photographe à contre-jour. Prudent, il scrute les environs et m’a rapidement senti malgré les précautions prises depuis mon affût10 – Piéride du choux . Ile-de-France
Ce papillon très commun en Ile-de-France virevolte inlassablement entre mars et octobre pour le plaisir des yeux et ses bienfaits aux plantes.9 – Carte Géographique. Bretagne , région de Rennes
Il s’est posé sur une ortie au soleil pour « recharger ses batteries » juste devant une haie plantée d’arbres dont les ombres nous offrent ce fond noir comme pour faire ressortir ses jolies couleurs.7 – Rouge-gorge dans le Bois de Meudon.
Toujours en mouvement et toujours mélodieux, il semble là pour égayer la nature dans son territoire. Je ne me lasse pas de le photographier dès que son environnement s’y prête.6 – Libellule en Ile-de-France
La libellule déprimée tire son nom de son abdomen aplati. Quelle drôle d’idée d’attribuer ce nom à un insecte aussi robuste, si actif et si utile.5 – Mouche stercoraire au Pré Catelan.
Elle se développe un peu partout. Là elle visite une fleur à la recherche de petits insectes pour se nourrir. Malgré son aspect peu attirant, ses couleurs dorées s’accordent souvent bien avec celles de la flore.4 – Le vol du Cormoran au-dessus du bois de Meudon.
Dans la journée, j’aime à capter le vol paisible du cormoran au-dessus des arbres de la forêt entre 2 pauses sur les étangs.3 – Le nourrissage du Pic Noir dans le bois de Boulogne.
Dès janvier, j’avais repéré cette loge grâce au claquement sec des coups de bec du pic contre l’arbre qu’il creusait. Puis les juvéniles ont éclos. Fin mai, ils sont prêts à partir et passent leur journée à l’ouverture pour appeler leur nourriture. En fin d’après-midi, le mâle fait fi de leur impatience et attend un peu pour les gaver des précieux insectes qu’il a trouvés pour eux.2 – Nid de faucon crécerelle dans les murs du château de Vincennes.
Ce fauconneau a bien de la chance d’avoir un endroit aussi confortable pour grandir. Nombreux il y a encore 2 ans, ils ont disparu suite à un ravalement.1 – Pic Vert dans le Bois de Boulogne
Ils aiment les grandes pelouses du Pré Catelan ou de l’Hippodrome, où abondent les insectes et les vers. De temps en temps, il faut prendre un peu de hauteur pour surveiller les environs. -
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