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- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 5 mois par Franck Lesueur.
16- Fourmiz
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La coccinelle et son garde-manger
Bonjour Jean-Pierre,
Les faunes étant différentes mais un des traits communs est la menace de leurs habitats.
Merci pour ton message de bienvenue. A bientôt lors des séances techniques.
Quynh
Bonjour Maggy, Yvon,
Merci pour votre accueil.
Je suis très heureux de faire partie de l’association et j’espère que nous aurons l’occasion de nous rencontrer au cours des évènements.
@Yvon: ton site web est très impressionnant avec des espèces variées et très belles photos. Tu m’as fait découvrir ta région la Brière qui incite à venir visiter et photographier.Quynh
Bonjour Olivier,
Merci pour tes encouragements.
Je ferai le maximum pour être à la hauteur de l’association. J’espère avoir l’occasion de se croiser en 2022.
Quynh
Bonjour Michèle,
Merci pour ton message. En effet, je suis attiré par toutes sortes de faune (mammifères, oiseaux ou insectes…)
Je te souhaite de Joyeuses Fêtes en attendant se retrouver en virtuel en 2022 qui s’approche à grand pas.
Bonjour Corinne,
Merci pour tes encouragements.
Même pour la macro de fleur, je ne peux m’empêcher d’inclure la faune. La séance technique avec Bastien (que j’ai eu de la chance de voir son expo à Montier et de discuter avec lui) a été passionnante jusqu’au bout. L’odorat des renards étant très fin, ils nous détectent de loin si le vent est défavorable. Pourtant parfois ils ne prêtent pas trop attention aux humains.
Les scènes cocasses se produisent souvent avec pique-boeuf, hérons garde-boeufs et autres. C’est juste une façon de les mettre en valeur.
Quynh
Bonjour Claude,
Merci.
C’était un coup de chance l’hermine. Depuis je retourne de temps en temps sur le site mais pour le moment aucune trace. Je vais persévérer.
Quynh
Bonjour Pascale,
Lors de ce stage dans le Haut Doubs, nous n’arrivions pas à photographier le renard, soit il était trop loin soit en mode furtif jusqu’à ce soir-là. Effectivement le photographe encadrant le stage (Fabien Gréban qui anime aussi avec Gérard David le stage dans le Jura) nous a dit qu’il n’avait assisté que 4 fois à une telle scène durant ses 15 ans de carrière. C’était la chance du débutant.
En ce qui concerne le chat forestier, je ne l’ai vu qu’une fois. Je voulais montrer sa taille avec la photo postée. Quand il est de face, il est difficile de le distinguer des chats domestiques. Ci-après une photo de face.
Sinon lors d’un voyage en Namibie à Etosha, en cherchant un léopard, nous sommes tombés sur un autre félin: le chat sauvage africain.
Bonjour Loïc,
Merci.
Je ferai de mon mieux pour continuer dans la diversité.
Quynh
Merci Franck.
Je suis content que tu aies remarqué l’hermine. La prochaine fois, je lui demanderai de mettre la robe d’hiver.
Photo 20: Combat de gazelles – Gazelle de Grant (Nanger granti) – Amboseli, Kenya
Nikon D850 200mm f/5,6 1/320s ISO 160
Juste avant de rentrer ce soir là, alors que le soleil venait de se coucher, deux gazelles de Grant s’affrontent aux portes du camp. Il arrive parfois que deux mâles se battent violemment pour le groupe de femelles.
Les cornes s’entrechoquent, la poussière masquant parfois les deux protagonistes. La bataille dura plusieurs longues minutes. Quel sera le vainqueur, nous ne le saurons pas car ils ont partis plus loin continuer leur combat à l’abri des objectifs indiscrets.
Photo 19: Le héron et son éléphant – Éléphant de savane (Loxodonta africana) – Amboseli, Kenya
Nikon D850 300mm f/2,8 1/500s ISO 100
Le parc d’Amboseli est le paradis des éléphants, son nombre est impressionnant, le parc compte plus de 1800 pachydermes. Depuis plusieurs décennies les troupeaux ne cessent de s’agrandir avec la naissance de nombreux éléphanteaux.
C’est aussi dans ce parc que l’on peut croiser la route de grands tuskers, lorsque vous vous trouvez en face de l’un deux, vous avez beau être à l’intérieur du véhicule, vous vous sentez bien petit.
Le héron garde-bœuf resta de longs moments dans cette position, il sembla se complaire sur son paquebot navigant à un rythme sénatorial.
Photo 18: La parade des autruches – Autruche d’Afrique (Struthio camelus) – Samburu, Kenya
Nikon D5 370mm f5,6 1/1600s ISO 360
Lorsqu’on voit au loin, une autruche mâle noire faire sa parade afin de séduire sa belle, on ne peut qu’admirer le ballet incessant de ses plumes, les efforts déployés. Le mâle est généralement accompagné de deux femelles qui elles sont grises, il a choisi celle qu’il honorera ce jour là.
Photo 17: L’aube des gnous – Gnou bleu (Connochaetes taurinus) – Masaï Mara, Kenya
Nikon D5 410mm f5,6 1/2500s ISO 160
Le soleil se lève à peine, n’arrivant pas encore à réchauffer la brousse du Masaï Mara après une nuit fraîche. Un petit troupeau de gnous se met en route en quête de nourriture, de traversée de grands espaces herbeux. Ce fut une belle image de lever de soleil tel que rêvé pour une journée dans la savane africaine.
Photo 16: La migration des gnous – Gnou bleu (Connochaetes taurinus) – Masaï Mara, Kenya
Nikon D5 200mm f5,6 1/2000s ISO 1000
Venir au Masaï Mara pendant la période de la migration des gnous venant de la Tanzanie permet de vivre des moments impressionnants. Des milliers de gnous attendent le bon moment pour traverser la rivière Mara, cela peut durer des heures jusqu’à ce qu’enfin l’un d’entre eux ne se décide à faire le premier pas. Ensuite, c’est la ruée, les beuglements de toute part sont assourdissants mais le spectacle est grandiose. Ils sautent pour rejoindre la rivière au mépris de se casser une patte. Voir ces gnous, zèbres bravant le danger des crocodiles ou des félins qui les attendent à la sortie de l’eau, est fascinant.
Photo 15: Half-tail – Lion (Panthera leo) – Masaï Mara, Kenya
Nikon D5 300mm f/2,8 1/2000s ISO 2000
Le soleil venait de se lever que Half-tail (surnommé ainsi par les Masaïs) commença sa patrouille à la recherche de son clan probablement. Il passa près de nous, en jetant à peine un regard sur les humains dans leurs véhicules. C’est toujours un moment d’excitation de voir un lion déambuler dans la savane. Les lions ne dorment pas toujours toute la journée.
Photo 14: La capture – Pygargue vocifère (Haliaeetus vocifer) – Baringo, Kenya
Nikon D5 220mm f/5,6 1/4000s ISO 500
Sur une partie du lac Baringo et un des îlots, se trouvent des pygargues vocifères. Près du lac vit une communauté de pêcheurs Masaïs, qui naviguent sur des petites barques en roseaux. Grâce aux poissons relâchés par le pêcheur local, j’ai pu réaliser cette image lorsque le pygargue daigne venir, ce qui n’est pas toujours le cas. Assister à cette scène a été un grand moment de notre séjour au lac Baringo. La puissance du rapace lorsqu’il fonce sur l’eau pour attraper le poisson est impressionnante.
Photo 13: Le couple martin – Martin-pêcheur pie (Ceryle rudis) – Baringo, Kenya
Nikon D5 500mm f/5,6 1/2000s ISO 4000
Le lac Baringo est un lac intérieur du Kenya où la présence de nombreuses espèces d’oiseaux est bien connue des ornithologues et photographes. Depuis quelques années le niveau du lac est monté d’une manière tellement importante qu’elle inonda une partie du village bordant ce lac. C’est le paradis des oiseaux, on y rencontre souvent le martin-pêcheur huppé, très rarement le martin-pêcheur pygmée et par contre beaucoup de martin-pêcheur pie. Nous sommes restés de longs moments à les regarder pêcher, se rencontrer, se chamailler.
Photo 12: Queen of Samburu – Léopard ou Panthère (Panthera pardus) – Samburu, Kenya
Nikon D5 500mm f5,6 1/640s ISO 6400
Après avoir cherché notre graal pendant une bonne partie de la journée, notre guide décida d’aller voir un autre secteur à la tombée de la nuit. Il positionna le véhicule légèrement contrebas à lisière d’une forêt du parc de Samburu. Nous étions le seul véhicule. Après une courte attente, un mouvement furtif se produisit devant nous. Un léopard sortit de derrière les fourrés pour arriver droit vers nous, et jeta un regard dans notre direction puis partit ensuite se fondre dans les ombres des massifs. La scène ne dure que quelques minutes mais cette apparition restera gravée dans nos mémoires pour cette première rencontre avec un tel félin, ses superbes yeux bleus nous ont transpercés le cœur.
Il s’agit d’une jeune femelle sur son territoire. Les léopards femelles sont territoriaux au contraire des mâles.
Photo 11: Le club des 5 – Pique-bœuf à bec jaune (Buphagus africanus) – Masaï Mara, Kenya
Nikon D5 400mm f/8 1/2000s ISO 800
Beaucoup de parasites (tiques, larves d’insectes) sont logés dans la peau des animaux de la savane (buffles, girafes, rhinocéros…), le pique-bœuf soulage les animaux en les nettoyant. Malheureusement, en picorant, il empêche la cicatrisation des plaies et attire ainsi d’autres parasites pour se nourrir. Cela affaiblit les animaux, pouvant même jusqu’à causer leur mort.
Sur ce zèbre, la présence des 5 pique-bœufs signifie-t-elle qu’il a besoin d’un nettoyage poussé ?
Photo 10: Les zèbres du Kilimandjaro – Zèbre des plaines (Equus quagga) – Amboseli, Kenya
Nikon D5 48mm f/7,1 1/125s ISO 100
Les trois premiers jours dans la réserve d’Amboseli, Kenya, n’avaient pas permis d’admirer le Kilimandjaro qui est recouvert par une brume la plupart du temps. Cette montagne mythique située en Tanzanie offrirait la plus belle vue du côté Kenya selon les locaux. C’est le sommet le plus haut du continent africain avec 5895m.
La dernière matinée, juste après le lever de soleil, a exaucé mon secret espoir d’un panorama entier du « Kili » avec en prime une belle lumière sur la savane où les zèbres et gnous s’éveillaient tranquillement, probablement que les félins sont loin ou encore assoupis dans leur sommeil. Les neiges éternelles du Kilimandjaro semblent se rétrécir au fil des années. Reverrons-nous encore de la neige sur le Kilimandjaro dans le futur?
Photo 9: Le coquelicot et son hôte – Méconème fragile (Meconema méridionale) – Isère, France
Nikon D850 66mm f/7,1 1/500s ISO 100
Lors de fameuse période des 1km autour de chez soi, le bord des chemins non désherbés révéla de belles surprises avec tout un microcosme.
De plus en plus de communes pratiquent un fauchage raisonné des espaces, des champs, des sentiers etc. Cela permet de retrouver la faune et la flore d’autrefois comme les coquelicots. Ce méconème se nourrit de pucerons et de petits insectes.
Photo 8: Le héron et l’anguille – Héron cendré (Ardea cinerea) – Algarve, Portugal
Nikon D850 400mm f/5,6 1/1000s ISO 140
Sur un étang d’une réserve d’Algarve, une scène m’intrigua. Un héron cendré restait là immobile, scrutant la surface de l’eau pendant de longues minutes puis il se déplaça un peu et resta immobile à nouveau. L’eau de l’étang n’était pas profonde. L’absence de vague donnait une impression d’un miroir que rien ne venait troubler. Après une bonne trentaine de minutes et des dizaines de cliché du héron avec son reflet, le héron plongea tout à coup son bec dans l’eau. Il en ressortit avec une anguille puis se dirigea vers la berge afin de pouvoir tranquillement la mettre dans le bon sens avant de l’avaler. L’anguille est le mets favori des hérons.
Photo 7: Le bal du vautour – Vautour fauve (Gyps fulvus) – Gorges du Tarn, France
Nikon D850 440mm f5,6 1/2000s ISO 200
Assister et photographier les vols de vautours constitue toujours un spectacle étonnant et une joie. Ces vautours évoluent parfois proche du promontoire d’observation et il est possible d’entendre le son de leur vol fendant l’air. Cette prise de vue du vol du vautour fauve, éclairé par la lumière déclinante du jour, a été réalisée au dessus du fond sombre des gorges du Tarn.
La plus importante colonie de vautours fauves est à Rémuzat dans la Drôme provençale avec plus de 200 couples.
Photo 6: Le chat foin – Chat forestier (Felis silvestris silvestris) – Haut Doubs, France
Nikon D850 450mm f/7,1 1/800s ISO 400
Camouflé dans un affût avec le soleil couchant dans le dos, le chat traversa le champ de foin sans me voir. Il arrivait droit sur moi, seul le bruit du déclenchement de l’appareil photo attira son attention mais ne le fit pas fuir pour autant.
Photo 5: Bataille de renards – Renard roux (Vulpes vulpes) – Haut-Doubs, France
Nikon D850 500mm f/5,6 1/1000s ISO 1000
Après une journée d’affût infructueuse, nous décidâmes de changer, en fin de journée, pour un autre dans un champ fraîchement fauché.
5 minutes après, un premier renard arriva pour chasser, suivi d’un deuxième et un troisième. Ils fouillaient le champ à la recherche de nourriture, lorsque l’un des renards attrapa une proie, l’autre voulait la lui prendre provoquant une bagarre violente pendant de longues minutes. Pendant que ces deux se battaient, le troisième emportait en douce la proie. Malheureusement la photo concernée n’est pas exploitable.
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